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CALORIQUE LATE3NT, ggg
Ici une difficulté se présente. Lorsqu’on retire ce corps ,
chaque morceau de glace solide qui reste dans l’appareil retient
à sa surface une petite couche de l’eau qu’il a formée. Cette
couche, quoique très-mince sur chaque morceau, doit, pour
la masse totale de la glace contenue dans le calorimètre,
former une quantité considérable. Cela est vrai. Mais si l’on
a opéré avec les précautions que nous avons prescrites, c’est à-
dire à quelques degrés au-dessus de la glace fondante , une
petite couche d’eau exactement pareille adhérait déjà à la sur
face de chaque morceau de glace, lorsque l’on a introduit le
corps échauffé. Cette couche , qui a dû la première s’écouler,
compense donc exactement celle que la glace conserve quand
le refroidissement est fini.
Il importe encore de faire remarquer que l’esprit de cet ap
pareil consiste principalement dans l’influence de l’enveloppe
extérieure de glace , comprise entre les deux vases métalliques
AB CD, A'B'C'D'; car c’est cette enveloppe qui, par sa
présence, maintient à zéro la température de la glace intérieure,
et l’empêche de se fondre autrement que par l’action du corps
introduit dans l’espace qu’elle contient..
Supposons que ce corps soit solide , et de nature à ne point
changer d’état depuis la température de la glace fondante
jusqu’à celle de l’ébullitiou de l’eau ; alors , l’ayant porté à une
température quelconque i, comprise entre ees limites, et mesurée
en degrés du thermomètre à mercure, plaçons-le dans le ca
lorimètre, et laissons-le se refroidir jusqu’à o. Quand il y sera
revenu, nous trouverons que la quantité de glace qu’il a fondue
est proportionnelle au nombre de degrés t; de sorte que, s’il en
a fondu un kilogramme en se refroidissant de io° à o, il en
fondra deux kilogrammes en se refroidissant de 2o°à o, trois en
se refroidissant de 3o° à o,et ainsi de suite dans toute l’étendue
de l’échelle thermométrique. Mais la constante de cette pro
portionnalité sera différente pour différens corps, à masse égale.
Par exemple , si un certain poids de tôle ou de fer battu, porté
à 3o° de température, a fondu 11 kilogr. d’eau , le même poids
de mercure, porté à la même température, n’en fondra que
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