Full text: Traité De Physique Expérimentale Et Mathématique (Tome Quatrième)

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CALORIQUE LATENT. 
7°7 
absorbé paraît croître à mesure que le degré de fusion s’élève. 
Black en tira aussi celte conséquence, quoiqu’à la vérité , il y 
ait bien peu de différence entre les résultats des deux premières 
substances, pour un intervalle de 56° entre les points de fusion. 
Si l’on voulait énoncer ces quantités de calorique absorbées 
conformément à nos conventions précédentes, c’est-à-dire en 
kilogrammes de glace fondue, rien ne serait plus facile; car, 
puisque les niasses employées , d’eau et de chaque substance , 
sont rendues égales par le calcul, si l’on nomme c la chaleur 
spécifique de l’eau, et t la température consignée dans la der 
nière colonne, et sera la quantité de glace que fondrait le calo 
rique de fluidité absorbé par une masse égale à 1. Si l’on 
effectue ce calcul en. substituant à c la valeur — trouvée par 
y5 
MM. Lavoisier et Laplace pour la division centésimale , l’eau 
donnera pour résultat 1 ; le spermaceti donnera — . 82,22 , ou 
70 
i,og63; et de même on aura pour la cire 1,2963, pour l’étain 
3,7037 ; ce seront là les nombres de kilogrammes de glace qui 
pourraient être fondues par le calorique de fluidité propre à 
chaque kilogramme de ces substances. 
Black reconnut également que les corps liquides absorbent 
du calorique en devenant gazeux, et qu’ils le restituent tout 
entier quand ils retournent de l’état gazeux à l’état liquide. Il 
mit ce phénomène en évidence par des expériences incontes 
tables. Il essaya même de mesurer la quantité absolue de calo 
rique dégagée dans la conversion de la vapeur aqueuse en eau. 
Mais, ne se croyant pas assez sûr des procédés qu’il avait mis 
en usage, il pria M. Watt, son élève, de refaire l’expérience. 
Celui-ci, à qui elle importait beaucoup pour la conduite et la 
théorie de ses machines à vapeur, y mit beaucoup de soin; et 
il trouva que le calorique dégagé par la vapeur, en devenant 
fluide, pouvait élever une masse égale d’eau à la température 
de q5o° de Fareinheit ; ou, ce qui revient au même, pouvait 
élever d’un degré de Fareinheit une masse d’eau g5o fois plus 
grande.
	        
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