Full text: Traité De Physique Expérimentale Et Mathématique (Tome Quatrième)

IT. 
“»nuns nyh 
latowpmturesuùffli. 
iwiroonat On p 
h ehaienr dégagée, a 
to thermomètre tip 
ieC«ra i6 a ,ii7,ttl 
exprimera l'excès 4 
tètr» maintenu pat: 
sent a la tempérait 
ii à i\ Maintenant, 
■‘«ion tie o,7^o5, a 
;me 1 la temperatun 
|i5, maintenu!’ exes 
; ce qui, eu calculai: 
-, OU 0° ,OOÜ91$ 
15 
is ces nouvelles № 
in degré. Divinité 
«mi 
—-, oui,liai 1 ! 
¡91778 
ie dégagées P® 1 !® 
reilles, quand!!'? 
l'oe suite ¿'t? 
nojen des qui?' 
nsi une variatioc- 
0,2396 seule®« 
, concevons qn : 
lit dégagé W 
de degré* donH 
us de celled« 1 ' 1 ’ 
le degrés qu a5,i 
M sclico [!Slacifi ' 
CALORIQUE LATENT. ^3 
température, mais sous une autre pressionp',on pourra , avec 
une approximation suffisante , supposer la proportion 
0,35827:0,2396::^ -:z, d’où s = o,23o6 
P /7.0,35827 
C/est ainsi que les auteurs ont opéré, et ils ont pu d’autant 
mieux le faire, que toutes leurs expériences ayant eu lieu sous 
la pression naturelle de l’atmosphère , n’offraient que des diffé 
rences de pression très-petites. On voit aussi, par la même 
raison, que la supposition de la constance des chaleurs spéci 
fiques n’a pu leur occasionner aucune erreur sensible dans cette 
réduction, puisqu’ils n’en ont réellement fait usage que dans 
des limites très-resserrées, à cause du peu de différence des 
températures auxquelles le calorimètre était maintenu par 
les différens gaz. Enfin, la même raison leur a permis de con 
sidérer la même échelle de réduction comme applicable aux 
gaz différens de l’air , puisque, leurs chaleurs spécifiques étant 
peu différentes , la réduction , si elle n’est égale, doit être 
très-peu différente pour chacun d’eux. Après ces explications, 
il est facile de comprendre le tableau placé à la fin de ce cha 
pitre , dans lequel les circonstances des expériences sont consi 
gnées avec les résultats qui s’en déduisent. 
La dernière colonne de ce tableau exprime l’excès de la tem 
pérature stationnaire du calorimètre sur celle de l’air exté 
rieur, en le supposant successivement chauffé par un même 
nombre de litres de différens gaz ,pris originairement à la même 
pression, à la même température, et refroidis du même nombre 
de degrés. En divisant tous ces nombres par le premier d’entre 
eux , on aura les chaleurs spécifiques des différens gaz com 
parées à celle de l’air, sous des volumes égaux et des pressions 
pareilles ; et si on divise ces résultats par la densité de chaque 
gaz, en prenant pour unité celle de l’air atmosphérique, on 
aura les chaleurs spécifiques des gaz à poids égaux, c’est-à- 
dire les quantités relatives de calorique qu’un même poids de 
ces gaz, pris à des pressions pareilles, abandonnerait en se 
refroidissant d’un même nombre de degrés. Yoici ces résultats , 
donnés par les auteurs du mémoire.
	        
Waiting...

Note to user

Dear user,

In response to current developments in the web technology used by the Goobi viewer, the software no longer supports your browser.

Please use one of the following browsers to display this page correctly.

Thank you.