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levier AB; car chaque point de ce levier, décrivant un arc de
cercle autour de son centre de rotation, tendrait à détourner le
point d’attache de la verticale , et cet effort casserait la machine.
C’est pourquoi, dans l’appareil de Newcommen , où le piston
ii était actif que dans la descente, sa communication avec lo
grand levier était établie par une chaîne enroulée sur un arc de
cercle. Mais dans la machine actuelle , la rigidité des tiges
exige un autre mode de communication. C’est à quoi M. Walt
est parvenu par un assemblage particulier de tringles métalli
ques mobiles les unes sur les autres, et combinées de manière
à compenser par leur jeu le défaut de verticalité parfaite du
mouvement du grand levier. La figure représente encore plu
sieurs autres pièces très-utiles à la bonne disposition de
l’appareil, telles que des volans pour régulariser le mouve
ment , et des roues pour le transmettre ; mais ces détails
appartenant à la mécanique, je dois les passer sous silence
pour pouvoir indiquer d’autres points qui tiennent à la phy
sique , et qui ne sont pas moins essentiels.
Le plus important est la détermination de la température
à laquelle il est le plus convenable d’employer la vapeur. En
effet , plus elle est chaude, plus sa force élastique est consi
dérable , et par conséquent plus elle produit d’effort sur la
surface du piston qu’elle presse, le vide étant toujours de
l'autre côté. Mais aussi il faut consommer plus de charbon
pour produire une x r apeur plus chaude ; en sorte que le profit
ou le désavantage de la température est un élément à déter
miner. Pour y parvenir, considérons d’abord que la quantité
de chaleur nécessaire pour produire un volume déterminé de
vapeur aqueuse dépend de deux choses : i°. de la densité que
cette vapeur doit nécessairement avoir sous la force élastique
qu’on veut lui donner : 3°. de la quantité de calorique néces
saire pour la produire et pour l’amener à cet état. La première
question se trouve résolue par les formules que nous avons
trouvées en traitant de la formation des vapeurs, page 3^9 du
Livre premier. Soit (ar) le poids d'un centimètre cube de vapeur
aqueuse, réduite à la température de o°, en lui supposant une
force élastique égale o°,76. Pour toute autre température t f