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croisement, qui njj
DE LA LUMIÈRE. 77$
devront être évidemment diffractés par l’influence de ces
bords ; et cette diffraction s’exerçant inégalement sur les
divers rayons simples, devra, si la lumière incidente est
blanche, faire paraître la raie diversement colorée, selon le
point d’où on la regardera. Maintenant concevez qu’une
suite de strie3 pareilles soit tracée sur une même surface ,
parallèlement les unes aux autres , à des distances très-petites ;
chacune d’elles produira une diffraction telle que nous vei ons
n'ont lieu que sorti
n réflétlie irrégolic-
nt ses propres lois,
la fait que, sur li
tranchées qu’aprèi
la distance ¡au Jiei
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sur celle du cristai
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ires modifient les loii
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; même que l’horùon-
m qn’en faisant*
rercent les
de l’expliquer. Mais, en outre, les portions intermédiaires
de la surface réfléchissante , ayant maintenant leurs bords
très-voisins, diffracteront aussi très-sensiblement la lumière
qui tombera sur elles ; et alors la surface, vue de loin, paraîtra
complètement striée d’ondes lumineuses, sans distinction d’en-
foncemens ni de sommets. Ce phénomène avait été remarqué
par Grimaldi, qui avait bien senti son analogie avec la dif
fraction ; mais, pour l’y ramener nettement, il fallait savoir
que les portions non enfoncées de la surface doivent diffracler
aussi la lumière, à cause du voisinage de leurs bords ; et il
serait même possible que cette proximité modifiât aussi les
franges formées dans les raies mêmes. Pour observer le phéno
mène dans toute sa beauté, il faut faire tracer des stries pa
rallèles et bien égales sur une planche de cuivre, avec une
machine à tracer dont les graveurs se servent : alors, en expo
sant une pareille surface à la lumière des nuées, et la regardant
par réflexion, on la voit couverte d’une suite d’ondes lumi
neuses régulières, dont il serait intéressant d’étudier les cou
i qu'il ne tint ¡as n°tt*
yji se produit dans 'es
surfaces réfléchissantes
aie surface
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leurs soient
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bords de fa ra ‘ e ’^
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leurs et la configuration.
Ces effets, et en général tous ceux qui peuvent se ramener
au cas du passage de la lumière entre deux biseaux , rentrant
dans les lois que nous avons assignées à ce genre de phéno
mènes, seront dès à présent susceptibles d’être complètement
analysés. Mais il n’en est pas de même des phénomènes ana
logues aux franges intérieures qui se forment dans l’ombre des
lames étroites et opaques , parce que l’on ignore comment la
lumière se plie pour aller les produire. C’est ce qui m’engage
à ajouter encore ici quelques observations particulières sur
ce sujet.