Full text: Traité De Physique Expérimentale Et Mathématique (Tome Quatrième)

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par transmission ls 
l * e la première lame, 
¡’'ronde, mais senies! 
«de était suffisaw 
if* ensuite parmi a 
issait pas la yéritft 
croisement, qui njj 
DE LA LUMIÈRE. 77$ 
devront être évidemment diffractés par l’influence de ces 
bords ; et cette diffraction s’exerçant inégalement sur les 
divers rayons simples, devra, si la lumière incidente est 
blanche, faire paraître la raie diversement colorée, selon le 
point d’où on la regardera. Maintenant concevez qu’une 
suite de strie3 pareilles soit tracée sur une même surface , 
parallèlement les unes aux autres , à des distances très-petites ; 
chacune d’elles produira une diffraction telle que nous vei ons 
n'ont lieu que sorti 
n réflétlie irrégolic- 
nt ses propres lois, 
la fait que, sur li 
tranchées qu’aprèi 
la distance ¡au Jiei 
nt dans la réflexior 
sur celle du cristai 
aucoup plus faible. 
[< de la réflexion de 
ires modifient les loii 
itè des angles de rc 
ices qü en taisant abs* 
; même que l’horùon- 
m qn’en faisant* 
rercent les 
de l’expliquer. Mais, en outre, les portions intermédiaires 
de la surface réfléchissante , ayant maintenant leurs bords 
très-voisins, diffracteront aussi très-sensiblement la lumière 
qui tombera sur elles ; et alors la surface, vue de loin, paraîtra 
complètement striée d’ondes lumineuses, sans distinction d’en- 
foncemens ni de sommets. Ce phénomène avait été remarqué 
par Grimaldi, qui avait bien senti son analogie avec la dif 
fraction ; mais, pour l’y ramener nettement, il fallait savoir 
que les portions non enfoncées de la surface doivent diffracler 
aussi la lumière, à cause du voisinage de leurs bords ; et il 
serait même possible que cette proximité modifiât aussi les 
franges formées dans les raies mêmes. Pour observer le phéno 
mène dans toute sa beauté, il faut faire tracer des stries pa 
rallèles et bien égales sur une planche de cuivre, avec une 
machine à tracer dont les graveurs se servent : alors, en expo 
sant une pareille surface à la lumière des nuées, et la regardant 
par réflexion, on la voit couverte d’une suite d’ondes lumi 
neuses régulières, dont il serait intéressant d’étudier les cou 
i qu'il ne tint ¡as n°tt* 
yji se produit dans 'es 
surfaces réfléchissantes 
aie surface 
^elesde^F 
leurs soient 
-acons sur cet'« sli 
la i une v,re.W 
bords de fa ra ‘ e ’^ 
t la dan» 1¥ 
leurs et la configuration. 
Ces effets, et en général tous ceux qui peuvent se ramener 
au cas du passage de la lumière entre deux biseaux , rentrant 
dans les lois que nous avons assignées à ce genre de phéno 
mènes, seront dès à présent susceptibles d’être complètement 
analysés. Mais il n’en est pas de même des phénomènes ana 
logues aux franges intérieures qui se forment dans l’ombre des 
lames étroites et opaques , parce que l’on ignore comment la 
lumière se plie pour aller les produire. C’est ce qui m’engage 
à ajouter encore ici quelques observations particulières sur 
ce sujet.
	        
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