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CONDUCTIBILITÉS PRINCIPALES D’UNE PLAQUE HOMOGÈNE :
directeurs analogues ont les rapports mutuels et les signes de a 2 (D,
b-C, c~§. Les courants de chaleur, dont les propres cosinus direc
teurs sont entre eux comme les trois flux principaux F^, F r , F z ,
seront parallèles aux feuillets de la plaque, quand on aura la
condition de perpendicularité XF^-f- pF r -f- vF a = o, c’est-à-dire,
d’après les formules (07) (t. I, p. i3o),
ou bien
C’est dire que la direction, Oz', des éléments rectilignes tou
jours isothermes pour ces courants, ou, par suite, la direction des
génératrices du cylindre qu’on doit circonscrire à l’ellipsoïde prin
cipal (2) (p. 66), est définie par trois cosinus proportionnels aux
coefficien ts
(17) a 2 À-4-rlqj, — Cv, b’ 1 [x -+- ©v— ¿FX, c 2 v + CÏ — (D[x.
206. Cylindre portant l’ellipse indicatrice de ces conductibilités
principales. — Si donc x, _y, z désignent les coordonnées cou
rantes d’une génératrice quelconque du cylindre, et x^, y 0 , z 0
celles de son point de contact avec l’ellipsoïde, les équations de
la génératrice seront
x — x 0 _ y — jo
(18)
a 2 X -r- S' [J. — Cv 6 2 ¡J.-+-©v— JX
De plus, la génératrice appartenant au plan tangent de l’ellip
soïde en z o)i l’on aura
^0 ro fl = XVo , ££o
a 2 6 2 c 2 ’ a 2 6 2 1 c 2
D9)
équations qui, retranchées l’une de l’autre, donnent, en vertu
de (18)
(20)
t X — © jx) = o.
¿FX)