Full text: Refroidissement et échauffement par rayonnement, conductibilité des tiges, lames et masses cristallines courants de convection, theorie mécanique de la lumière (Tome 2)

CONSTRUCTION DE L’ELLIPSE QUI LES REPRÉSENTE. 8l 
Pour avoir l’équation du cylindre, éliminons x 0 , y 0 , z 0 entre 
(18) et (19)- A cet effet, ajoutons terme à terme les trois rap 
ports égaux (18), après les avoir multipliés haut et bas soit par 
A, soit par les produits des expressions (17) et de A, 
A, A. E n tenant compte, dans les résultats, de (19) et (20), il 
suffira d’égaler les deux nouveaux rapports ainsi obtenus pour 
avoir, par l’évanouissement des dénominateurs, l’équation cher 
chée du cylindre : 
X 2 y 2 Z 2 
a 2 b 2 1 c 2 
X 
(21) { 
a l —|— 
§ [X Cv\ 2 
( x 
a 
(Dv 
— §l'< 
b 
(C V '' 
) X 
a 2 j 
(Dv — 
ii\ 
7 
Cl — CD ;jl\ 2 
7 + v 
Cl — (Dff\ l 2 
20/. Substitution, à ce cylindre, d’un ellipsoïde, homothétique 
par rapport à celui des conductibilités. —Nous ne désirons con 
naître ici que l’intersection de ce cylindre par le feuillet moyen 
de la plaque, dont l’équation est 
(22) lx -4- [XJK -1- 'iZ = O. 
Le second membre de (21) se réduit donc aux termes en CD, C, §. 
Or, si l’on y pose, pour abréger, 
r Jb = .b ¡J. bC.CV, 
(23) -J t)î, = «CD.cv — c$.al, 
( G = bC.al — aŒ).b[x, 
ces termes donnent, en tout, 
1 
a 2 b 2 c 2 
ilî. 
7 
b 
B. - II. 
6
	        
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