112 PARITÉ, DANS TOUS LES SENS, DE l’éCHAUFFEMENT d’üN CORPS ISOTROPE,
ayant pour champ la limite du champ des premières,
J C -f- ch — u. 2 f u' clxu — a- u' n ra :
«7 dn -4
et l’intégrale / , dans (76), devient ainsi
•' a
, rT r r/U
^ dn
(7
(77)
i/c7
D’ailleurs, l’expression — J~d~i £ ^ <7 ’ somme des flux de chaleur
sortant, par unité de temps, de la figure a- (vu la valeur 1 du coef
ficient de conductibilité intérieure dans notre milieu isotrope),
n’est autre chose que le débit donné Q de la source O.
Il en résulte que la valeur moyenne, sur <7, de ne tend pas
vers zéro avec ra; de sorte que, si U ne croît pas sans limite à l’ap
proche de l’origine O, la dérivée ^ lui restera pour le moins
comparable (au point de vue des valeurs numériques).
Si, au contraire, U y grandit indéfiniment, il est évident que sa
dérivée correspondante — — y sera encore d’un ordre au moins
aussi élevé; car nulle intégrale ne peut, dans un champ infini
ment petit, grandir autant que la fonction placée sous son signe J•
Or la dérivée — ^deviendra infinie quand le corps aura deux ou
trois dimensions et que, par suite, la figure cr entourant l’espacera
décroîtra indéfiniment lors de son rapprochement du point O; car
alors, le débit —J-j^du conservant sa valeur Q, la valeur
, dU
moyenne de
dn
est inverse de <7.
Quoi qu’il en soit, la valeur moyenne de — ~ sera, dans la
dn
parenthèse de (77), pour le moins comparable à p 2 U (numéri
quement), comme on voit, tandis que le facteur raya une dimen
sion infiniment petite de plus que Jdu ou u; le premier terme
u 2 Ura de cette parenthèse est donc toujours négligeable par