ÉCIIAUFF. PERMAN., A PARTIR d’üN CENTRE, D’UNE PLAQUE INDÉFINIE. 117
c et c t désignant deux constantes arbitraires,
(85)
-P
c -h Ci log(t sin 2 a)] coh(t cosa) da.
Comme u doit rester fini (et même s’annuler) pour t infini, il
faudra déterminer le rapport mutuel des deux constantes c et c,,
de manière qu’il en soit ainsi. Cherchons donc vers quelle forme
tend cette expression (85) quand t grandit indéfiniment. Le co
sinus hyperbolique, demi-somme de deux exponentielles dont
ta 2
l’une s’évanouit alors, y devient ^ e‘ c
sortir le facteur -e** du signej~, on
1
- e
2
En faisant
(86)
n
x. a*
Ci log(t sin 2 a)] e
cln..
Sous le signe l’exponentielle décroissante rend évidemment
négligeables, quand t est très grand, tous les éléments où a a une
valeur sensible, c’est-à-dire tous ceux où l’exposant tcosa — x.
de e est, alors, comme infini négatif. Or, dans ceux où a est, au
contraire, très petit et où l’exponentielle ne s’évanouit pas, l’ex
posant est réductible à — car le terme suivant de la série,
t X 4
2.3.4
ou
a 2
3.4
s’y trouve très petit de l’ordre de a 2 . De même, tsin 2 a s’y ré
duit à ta 2 . Posons donc ayA = (3; et nous aurons, sauf erreur
relative finalement nulle sur u : en observant que la nouvelle limite
supérieure de l’intégrale dépasse toute valeur donnée (si t est
assez grand),
(87)
gt /*«>
(pour t très grand ) u — I (c -h u
2/t^o
p 2
2Cilog(3) e 2 dfl
P 2