Full text: Refroidissement et échauffement par rayonnement, conductibilité des tiges, lames et masses cristallines courants de convection, theorie mécanique de la lumière (Tome 2)

IX 
EXTRÊME SIMPLICITÉ DES LOIS DYNAMIQUES DE l’ÉTHER. 
un corps transparent isotrope en mouvement, reconnue identique 
à celle qui aurait lieu, dans le même corps en repos, pour des 
radiations ayant très sensiblement mêmes périodes apparentes 
respectives que celles dont il s’agit, conformément à une assertion 
de M. Mascart; la théorie des doubles réfractions circulaire et 
elliptique des ondes planes latéralement limitées, avec la démon 
stration générale du principe d’Huygens sur la construction des 
rayons par le moyen des surfaces d’onde courbes, cette démon 
stration comprenant soit le cas où les vibrations sont pendulaires, 
mais régies par des équations aux dérivées partielles d’ordre quel 
conque, soit même le cas d’ébranlements isolés ou de forme arbi 
traire, quand les équations linéaires du mouvement ne contiennent 
que les dérivées du second ordre des déplacements, mais les con 
tiennent affectées de coefficients constants quelconques, ou sans 
qu’il existe,aucun potentiel; la théorie de l’absorption par les 
cristaux translucides et par les milieux dissymétriques modé 
rément opaques; celles des dispersion et absorption rotatoires; 
la formule des vitesses de propagation des ondes, en fonction 
rationnelle de l’orientation moyenne des mouvements de l’éther, 
dans les corps transparents dissymétriques; enfin, l’extension du 
principe de Fermât sur l’économie du temps au mouvement 
relatif de la lumière dans les milieux hétérogènes transparents, 
animés d’une translation rapide. 
Dans toutes ces questions, comme dans celles que j’avais trai 
tées antérieurement, les phénomènes lumineux offrent ce carac 
tère remarquable d’avoir les lois élémentaires les plus simples que 
l’on puisse imaginer. L’éther, soit à l’état libre, soit parsemé de 
molécules pondérables, paraît, en effet, réaliser dans ses équations 
de mouvement, bien plus que tous les autres milieux élastiques, le 
maximum de la simplicité compatible avec le pouvoir de vibrer 
transversalement ( 1 ). C’est, à chaque pas, dans tout ordre nouveau 
(') Pour la comparaison à en faire avec les solides élastiques, voir les pages 274 
et 276 du Volume en ce qui concerne les équations indéfinies, et les pages 338
	        
Waiting...

Note to user

Dear user,

In response to current developments in the web technology used by the Goobi viewer, the software no longer supports your browser.

Please use one of the following browsers to display this page correctly.

Thank you.