Full text: Refroidissement et échauffement par rayonnement, conductibilité des tiges, lames et masses cristallines courants de convection, theorie mécanique de la lumière (Tome 2)

POUVOIR REFROIDISSANT DES FLUIDES. I«I 
. . . - . -, c/d dQ f/0 
produite sur le lacteur trinôme À -f- a — -f- v — par un agran 
dissement des dimensions de la surface-type/’(£, ?), Ç) = o dans le 
i 
rapport de i à a 3 , agrandissement qui, par conséquent, aurait à 
peu près comme effet, sur le trinôme, de diviser sa valeur par a 0 » 1 
i 
ou (a 3 ) 0 ’ 3 , c’est-à-dire par la valeur relative de l’agrandissement, 
élevée à la puissance dont l’exposant est o,3. Dès lors, l’agran 
dissement analogue dont il faudrait pouvoir évaluer l’effet réduc 
teur sur le môme trinôme, si l’on fait varier indifféremment a, y, 
G ou K sans modifier les dimensions du corps, sera, d’après les 
ayC 2 ' 
K 2 
; et, 
expressions (21) de Ç, 7j, Ç, dans le rapport de 1 à 
vu que la fonction 0 définie par le système d’équations (28) et (25) 
change de la même manière à raison de cet agrandissement, quelle 
qu’en soit la cause, le trinôme se trouverait, dans (27), divisé à 
peu près par J . Ainsi, le pouvoir refroidissant des divers 
fluides sur un même corps serait, d’après (27), proportionnel 
au produit 
/ K 2 N 0 - 1 
\ay C 2 
(28) 
(KG 2 y ) 3 cd 
— y0,233 K.0,533 G°> 467 «L 233 : 
il serait, d’ailleurs, indépendant de la nature du corps et de l’état 
physique de sa surface, conformémen t à ce qu’a montré l’expérience. 
11 faut toutefois remarquer que l’extension ainsi obtenue, en 
partie empirique, des formules théoriques du refroidissement par 
convection, est valable seulement pour les formes de corps (sphé 
rique et, dans une certaine mesure, cylindrique modérément 
longue) expérimentées par Dulong et Petit. 
D’après les observations de ces deux physiciens, le pouvoir 
refroidissant varierait à peu près, pour divers gaz en particu 
lier, avec leur densité p, comme l’indique le facteur C 0 ’ 467 ci- 
dessus, où G est proportionnel à p et sensiblement indépendant 
de la température absolue. Mais ils ont reconnu aussi que cette 
température absolue y figure environ de la même manière que p, 
ou en tant que multipliant p, de manière à n’entrer, comme p, 
dans l’expression du pouvoir refroidissant, que par l’intermédiaire 
de la pression proportionnelle à leur produit d’après les lois
	        
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