AUX OSCILLATIONS PENDULAIRES DE CE FLUIDE.
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Et celle-ci (i46) elle-même, si l’on pose
(148) T =
c e~ 2 V- ¿/logT _ e~ 2 V- dT
°u b = j “ ~ JfiT d¿*
devient, en T, l’équation linéaire et binôme du second ordre
(i49)
(PT
d ¡x 2
e 2 \>-T,
montrant que T est une fonction cylindrique (ou Bessélienne) imagi
naire ( 1 ). Il faudra donc intégrer ou cette équation (1/+9), ou, directe
ment, les deux équations simultanées (i45), à termes réels.
Considérons plutôt celles-ci. Comme l’hypothèse s = o, ou ¡x = co ,
d\
fait évanouir, dans ( 144)? les parties de R;*, autres que 011 voit
que P, Q doivent s’annuler à la limite ¡x — 00 .
On le reconnaît d’ailleurs directement, d’abord pour P, dont l’ex
pression dépend, d’après (i43), de e 2 ^ et de logl. Comparons, en effet,
pour ¡x très grand, logl, ou plutôt log^> qui est alors positif, à e 2 ^. Si
n désigne leur rapport, positif lui-même, on aura ne^-y logI = o, ou
bien, en passant des logarithmes aux nombres, e netv ~ I = 1, et, par suite,
COSX ou I sinx) = (cosx ou sinx).
Or les expressions (187) de Icosx et de I sinx, multipliées par e" e,i *,
deviennent
(i5o)
et il est facile de voir que celles-ci ne pourraient égaler cosx ou sin-r,
c’est-à-dire se trouver comprises entre — 1 et + 1, si n n’y tendait pas
vers zéro quand ¡x grandit. Car, si n restait supérieur à une limite
aient
positive v 2 , les éléments qui correspondent à (i >» - — rendrai
évidemment infinies les deux intégrales quand l’exponentielle le se
rait, savoir, pour [x infini. Ainsi, le rapport n, c’est-à-dire l’expression
( ! ) Voir, au sujet de cette équation, une Note du Tome II (Compléments) de
mon Cours d’Analyse infinitésimale pour la Mécanique et la Physique ( p. 3i 1 *
et 3i2*) : dans cette note, notre ¡x actuel devient *