Full text: Refroidissement et échauffement par rayonnement, conductibilité des tiges, lames et masses cristallines courants de convection, theorie mécanique de la lumière (Tome 2)

QUELCONQUE, AUX OSCILLATIONS d’un FLUIDE IMPARFAIT QUI L’ENVIRONNE. 261 
négliger, dans P et Q, les termes de l’ordre de e~ 3 ^, il vient comme 
troisième approximation, à laquelle nous nous bornerons, 
(i54) 
e~V- 
7aï 
1 e-^\ 
1 ■+• 7 —7— ) ’ 
4 2 /: ) 
P = 
/2 A 
<?-{* 
t e -2 ^ 
4 2 A 
D’après (128) (p. 260), où il faudra faire t—R, la fraction ■ recevra, 
S/2k 
dans ces formules, la valeur 
R 
— r - Donc celles de seconde ap- 
2 p A 
proximation par exemple, c’est-à-dire (153), donneront, comme ex 
pression de la résistance R^, représentée par (x44)? et où /?i = T:R 2 p, 
( ï 55 ) 
/ae\ dV 
y pA/ dt 
H-2R|/^ 
!2 £ 
On remarquera sa complète analogie avec l’expression que donne, 
pour la résistance de la sphère de même rayon R, la formule (m) 
(p. 240). Même les trois coefficients numériques 2, 7r et 2-rc qui y 
™ 1. ml 2s dV ,, ii- „ 
affectent, d une part, / —r -y-» d autre part, le produit, par eV, 
R y p A dt 
du contour mouillé, 2, de la section maxima 2R normale au sens du 
mouvement, et, enfin, le produit de cette section maxima 2R par 
£ Vy/3, sont peu différents des coefficients analogues 3 et 6, re 
latifs au cas de la sphère, où le contour et la section dont il s’agit 
étaient 2ti:R et tcR 2 . 
Les diverses parties de la résistance qui, dans des oscillations pen 
dulaires, dépendent du frottement intérieur sembleraient, d’après 
cela, ne pas varier beaucoup avec la forme du corps, à égalité soit de 
sa plus petite dimension 2R et de la masse fluide déplacée m, s’il 
s’agit de la première partie mentionnée, soit du contour de la section 
maxima normale au mouvement, s’il s’agit de la deuxième, soit, enfin, 
de l’aire de cette section, s’il est question de la troisième et dernière 
partie introduite par les frottements du fluide. 
Les formules ci-dessus de P, Q seront, évidemment, d’autant plus 
approchées que sera plus grande leur variable d?-\p2k, c’est-à-dire 
l’expression 2Ry^ 011 auss L P ar suite, le diamètre 2R du cy 
lindre. Or c’est dans ce cas, précisément, qu’on pourra s’attendre à 
voir le mieux vérifiée notre hypothèse fondamentale de mouvements 
du fluide bien continus ou sans tourbillonnements, nécessaire pour
	        
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