Full text: Refroidissement et échauffement par rayonnement, conductibilité des tiges, lames et masses cristallines courants de convection, theorie mécanique de la lumière (Tome 2)

INAPPLICABILITÉ DES CONDITIONS DÉFINIES ORDINAIRES. 339 
développant les seconds membres. Ces équations, divisées par ¡x, sont 
effectivement 
I p(i -+- A) d 2 \ pF d 2 q pE' d 2 Ç cl dtA 
l [x dt' 2 p dt 2 [x clt 2 dy \dy dx) 
| p F' d 2 t p(i + B) d 2 7) pD d 2 ^ _ d /dr\ 
| [x dt 2 ¡x dt 2 ¡x dt 2 dz \dz dy) 
pE d 2 % pD' d 2 t] p(i-f-G) d 2 ^ d ! de d\\ 
¡x dt 2 ¡x dt 2 ¡x dt 2 dx \dx dz) 
d 
(<K _ 
d\ 
dz 
\dx 
dz 
d 
(<%_ 
dt\ 
dx 
\dy 
dx 
d 1 
( d b _ 
de 
dy' 
\dz 
et les trois dérivées secondes directes de £, r ( , Ç en x,y, s n’y figurent 
pas. Il résulte de là que, dans le cas où l’état physique varie très rapi 
dement, pour ne pas dire sans continuité, avec x (par exemple), 
comme il arrive à la traversée d’une couche de transition, normale 
ment à laquelle nous admettrons qu’on ait choisi l’axe des x, la déri- 
d 2 % 
vée seconde —- peut devenir relativement très grande sans que l’accé 
lération correspondante cesse d’être finie. Or les lois naturelles 
paraissent ne garantir ici de valeur finie ou modérée qu’aux dépla 
cements vibratoires £, vj, Ç (vu la facilité de translation de 
l’éther) et, en outre, comme dans toutes les autres questions de Mé 
canique physique, qu’aux vitesses et aux accélérations; car les vitesses 
varient graduellement, sauf, parfois, à des moments très exception- 
d 2 ^ 
nels. Donc la dérivée pourra devenir très grande sans contredire 
ces principes; et, si elle le devient assez, sur presque toute l’épais 
seur de la couche (supposée tant soit peu comparable à la longueur 
d’onde), rien n’empêchera la dérivée première d’y devenir grande 
elle-même, quoique ç, alors très vite changeant avec x, reste modéré 
ou, plutôt, petit comme le sont d’ordinaire ij, r\, t. Dès lors, il y aura, 
dans la couche de transition, des pressions relativement très fortes 
suivant les / et les z (*), à côté d’autres, de mêmes sens, très rapide 
ment variables avec x ( 2 ) ; et les plus fortes, figurant dans deux équa- 
( l ) Savoir, sur les éléments plans normaux aux y et aux z, les tractions 
rfÇ , d\ 
dz 
d\\ 
dx J 
„ ! d\ dr { 
et N. = — 2[x(- h 
\ dx dy 
( 2 ) Celles qui s’exerceront suivant les y et les z sur les éléments plans normaux
	        
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