Full text: Refroidissement et échauffement par rayonnement, conductibilité des tiges, lames et masses cristallines courants de convection, theorie mécanique de la lumière (Tome 2)

TRANSPARENT ISOTROPE : LOIS DE FRESNEL. 
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Dans le second cas, où m ly égal à , excède — , et où, par con- 
10 w 
séquent, la dernière relation (98) conduit pour à la double valeur 
imaginaire 
(108) 
j i/sin 2 Z — N 2 / 
1 J =± v— 
les expressions respectives (97) ou (io4), (98) ou (io5), de Ç, ij, et 
de £,, % u vju deviennent imaginaires, savoir, celles de r ( , Ç, à raison 
des valeurs alors imaginaires (102) ou (106) de P ou de Q, et, celles 
de ijj, Ç,,à raison, tout à la fois, des valeurs imaginaires (102) ou (106) 
de Pj ou de Q,, et de celle de la fonction f(t — l x x — ni y). Les solu 
tions obtenues, tout en satisfaisant analytiquement aux équations du 
problème, n’ont donc plus de signification physique. 
Mais on pourra évidemment composer des solutions réelles et appli 
cables, en superposant, vu la forme linéaire des équations du problème, 
les deux solutions analytiques conjuguées que donnera, pour une 
infinité d’expressions imaginaires de la fonction f, l’emploi suc 
cessif des deux signes ± que comporte l’imaginaire \J—1. Il faudra, 
toutefois, associer des solutions conjuguées à la fois pour les déplace 
ments incidents, réfléchis et réfractés. Cela reviendra à mettre pour f 
une fonction analytique appropriée à la nature du mouvement vibra 
toire que l’on veut étudier, et à adopter ensuite pour ij, r\, Ç, Sj,, 
7) j, les parties réelles respectives de leurs expressions complexes ; 
car la suppression des parties imaginaires équivaut à faire la demi- 
somme de la solution analy tique obtenue et de sa conjuguée. 
Du reste, comme tontes les équations à vérifier, indéfinies ou défi 
nies, sont linéaires (à coefficients réels) et homogènes en r o £> £i> 
r (1 , Ç, ou leurs dérivées, la substitution, à ij, n, Ç, ¡jj, r (1 , Ç t , d’expres 
sions imaginaires, s’y effectue en ajoutant simplement ce qu’y donnent 
les parties réelles de !j, r h Ç, Ç ls irq, Ç,, et qui est réel, à ce qu’y donnent 
les parties imaginaires, et qui se trouvera affecté du facteur \J — 1. La 
vérification des équations par certaines expressions imaginaires des 
déplacements (dits alors symboliques), tant pour les mouvements 
incidents que pour les mouvements réfléchis et réfractés, entraîne 
donc leur vérification séparée par les parties réelles de ces expres 
sions ; et ces parties constituent par conséquent, à elles seules, un 
système réel d’intégrales des équations. Comme nous savons que le 
problème de la réflexion et de la réfraction défini par ces équations 
est entièrement déterminé (p. 349), ^ suffira que les mouvements 
incidents y soient ceux que l’on propose, pour que les mouvements
	        
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