ERRATA.
XXXI
cl qui n’avait pas arrêté Huygens tout en lui paraissant insoluble, savoir, l’im
possibilité d’expliquer par des vibrations longitudinales, les seules que l’on
connût chez les milieux élastiques, la décomposition de la lumière, dans le spath,
en deux rayons polarisés suivant deux plans rectangulares, tenait justement à la
même cause, c’est-à-dire à l’ignorance où l’on était des équations (aux dérivées
partielles) du mouvement d’un tel milieu. Car leur connaissance et celle de leur
intégration ont suffi pour rendre évidente l’existence, devinée par Fresnel, des
vibrations transversales, qui ont pleinement éclairci le mystère. »
Page 375, à la fin de la ligne 7, lire « du côté des x positifs ».
Page 379, ligne 6 en remontant, au lieu de « cosv », lire « cosv 0 ».
Page 384, ligne 23, ôter le mot « même ».
Page 397, à la ligne 4 en remontant, ajouter l'alinéa :
« Il n’est pas inutile de remarquer que l’impulsion vibratoire de l’éther, ainsi
évaluée, sur chaque molécule pondérable, imprime à la molécule un mouvement
synchrone à celui de l’éther, sans cesse nouveau, qui l’entoure; car les accé
lérations, proportionnelles, de la molécule pondérable autour de sa situation
moyenne actuelle (x,y, z), effets de l’impulsion dont il s’agit, sont aussi, pré
cisément, des dérivées secondes complètes par rapport au temps. Par suite, si le
coefficient de résistance pouvait être assez grand, et les actions intermoléculaires
du corps rester négligeables, le mouvement vibratoire d’une molécule pondérable
isotrope serait constamment identique à celui de l’éther ambiant. »
Page 402, ligne 12, ajouter : « Voir aux Compléments la Note de la page 570 ».
Page 412, ajouter au texte l’alinéa suivant :
« Toutefois, les mesures les plus précises des indices de réfraction semblent
indiquer qu’une augmentation de pression, à température constante, en produi -
sant le rapprochement des molécules du corps, accroît généralement quelque peu
la résistance proportionnelle cia de chacune, comme si les molécules prenaient
alors, par l’effet combiné de leurs actions atomiques individuelles et de leurs
répulsions ou attractions physiques réciproques, une forme moins arrondie et plus
résistante, ou un volume légèrement plus grand. »
Page 4 x 4, au dernier terme de la formule (169), lire « d » au lieu de « d ».
Page 442, à la fin du n° 64, ajouter : « La question sera traitée plus complète
ment dans la X e partie, p. 58x à 583 ».
Page 452, ligne 4, mettre en Note ceci :
« On verra, dans la X o partie (p. 583 à 587), que, sauf sous l’incidence normale,
le rayon lumineux, dans un milieu opaque, est oblique aux ondes, et qu’il résulte
de cette circonstance un accroissement de l’anomalie de dispersion. »
Page 461, effacer ce qui suit le mot « période » aux lignes 6 et 7 ; puis modifier
ainsi les lignes i3 à 18 : « Il en sera de même, d’après la seconde formule (219),
du quotient ^ figurant dans (23o), quotient égal à —
• Supposons, par exemple,
qu’il s’agisse d’une solution, saline ou autre. Si donc elle ne contient.. .. »
Page 46 l , ligne 20, remplacer le coefficient g par a.
Page 463, ligne 4 en remontant, au lieu de « relations définies », lire « équa
tions indéfinies ».
Page 464, aux lignes 10 et 18, les deux produits lw et mio ont été intervertis.
De plus, à la ligne 18, ajouter en Note :
« Ces formules résultent des deux relations
l\ + mi\ + 71Ç = 0, -f- t^ 2 -+- Ç 2 = o,
que l’on obtient en ajoutant les équations (220) (p. 458), préalablement multi-