AMPLITUDES ET PHASES DES DEUX COMPOSANTES DU RAYON RÉFLÉCHI. 3r5
, . , , Lcosv
teurs trigonometriques en k I t q= -x
my
dans tous les
termes de ip, et, par suite, en particulier, dans la partie réelle
de ces fonctions, qui, seule, constituera l’expression physique des
déplacements. Or on voit qu’il est évanouissant, et, en même temps,
que Y onde évanescente, dépendant des sinus ou cosinus de
k t
L cosv
my
se propage bien vers l'intérieur du milieu opaque (du côté des posi
tifs), pourvu qu'on prenne la valeur (122) de l x avec son signe
supérieur. C’est donc celui-là qu’il faudra adopter ( 1 ).
,1 u> 2 Kü) 2 ,
Observons que les deux constantes — et —5- s expriment aisément,
1 a\ a\
d’après (121), au moyen des valeurs L 0 et v 0 que prennent L et v sous
l’incidence normale, c’est-à-dire quand i — o. Et alors le carré N 2 de
l’indice de réfraction, c’est-à-dire le rapport —-j devient, vu ( 118)
w ï
et (121),
(i?4) N 2 = ~ (1 — K /— 1) = Lf (cos2v 0 — \J— 1 sinavo).
Les formules ( 121 ) et (120) donnent d’ailleurs
03 4
I tang2V 0 = IA, L 0 =
(125)
_ (Jü 4 / ——
L 0 = — /1 -+- K 2 ;
Ct\
L? sin 2Vq
tang2V = j-z :
Lì cos 2 v 0 — si
T, T q Sm 2 Vp
L- — Lq
sin 2 V
(') On voit aussi que les mouvements, dans le rayon réfracté évanescent, se
trouvent à une même phase, en tous les points dont les coordonnées x,y, z véri-
fient l’équation t x — my = const., car \ v -q„ ç, ne dépendront d aucune
CO
autre variable fonction de t que le premier membre de cette équation. Les ondes
réfractées sont donc planes, normales à la direction dont les cosinus directeurs
ont les mêmes rapports mutuels, et les mêmes signes, que
L cosv
, m, zéro), ou que (Lcosv, sin«, zéro);
et leur vitesse de propagation, égale à l’inverse de i / —y, i" m2 i a l a valeur
M ■, de l’ordre de ou de a v mais fonction de K et variable aussi
\jl? cos 2 v -+- sin 2 i ^