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EXPLICATION, D’APRÈS CAUCHY,
devient, vu, finalement, les valeurs approchées (i45) de R,, R, et
80) £0)
(i -t- Q) cos/— Q t cos/' ¡= m
(*47)
N
= \/ 1 8
N
La seconde relation (143) continuant à exprimer la proportionna
lité de i — Q et Qj à o) et o) u ou l’égalité de i — Q à NQ n nous aurons
donc
(TN — i)*(N-t- i)
N2
( i -+- Q) cos i = Qi cos r 4- \/— i e
sin 2 i
Pour éliminer Q l5 multiplions cette équation par N et remplaçons,
dans le résultat, NQ t par i — Q ; puis effectuons les calculs du second
membre, en observant que la petitesse de Q, dans les circonstances
dont il s’agit, rend négligeable le produit eQ. La résolution par rap
port à Q donne ensuite
cosr — IN cos i
(N — i) 2 (N-f-i) sin 2 /
N 2 cos /• -t- N cos i ’
Q =
cos/’ -i- N cos i
ou, sensiblement, vu que, dans le phénomène étudié, cos/- diffère peu
de N cos/, et que, par suite, sin/ (ou Nsinr) et cos/ sont voisins
v/N 2 + i '
- (N — i ) 2 (N + i)
I £ —-
2 N /№+7
Si donc on pose, pour abréger, pareillement à ce qu’on a fait dans
la théorie de la réflexion totale (p. 357),
ou que p désigne l’angle aigu, compris de zéro à tz ou à sinus positif,
défini par la tangente
e(N — i)*(N + i)
et R un module de l’ordre de petitesse de \/£ 2 + (cosr— N cos/) 2 , les