DES ANOMALIES DE LA RÉFLEXION VITREUSE.
.. j /.k„\ i„ ^
3 9 i
Actuellement, isolons, dans (i5o), le terme et, multipliant
par dx, intégrons de même entre les limites x — o, x — s, sans tenir
compte du dernier terme, qui donnerait visiblement une intégrale de
l’ordre de s 2 , mais en observant que écrit
a 2 , a son premier
facteur presque indépendant de x, en vertu de (92) (p. 344)• Si nous
produit de e par la valeur moyenne
0
de a 2 dans la couche de transition, nous aurons notre seconde rela
tion définie :
Il reste à porter, d’une part, dans les seconds membres de ( 151 )
et (i52), où a sera u>, les expressions symboliques, spécifiées finale
ment pour x — o,
£ — /)uû( — 1+ Q e kU+tx-mÿ)V-1),
Y) — Ico (-+- _j_ Q e k(t+lx-my)'J-l') i
qui comprennent les deux rayons incident et réfléchi, mais sans ou
blier que le coefficient Q propre au rayon réfléchi est, ici, assez petit
pour rendre négligeables les produits e'Q, e"Q, sQ; d’autre part,
dans les premiers membres, les expressions, symboliques aussi, et
finalement spécifiées pourÆ; 1 = o,
\ =— m<s> l Q t v C ï, Y) = l x (ü! Qi
qui définissent le rayon réfracté. On aura, après division de la
première équation par —k\J— de la deuxième par
e k{i-my)y/-1, el a p r ès avoir remplacé ¿ 2 + m 2 , l\ + m 2 par les inverses
de co 2 et de co 2 :
Multiplions la première par ¿¡co 2 et puis retranchons-la delà se
conde, pour éliminer Qj. Si nous observons finalement que /w = cosf,