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EXPLICATION, SUR LES BASES POSÉES PAR M. POTIER,
l x toj = cosr, — N, m — ? l’équation en Q obtenue donnera
W, CO
. ~ cosr— N cosí / X: N
(153 ) O = 4- / -i —
cosr -4- N COS l CO
£ COCOj COS l cos r-
e" sin 2 i
ocoi N
cosr 4- N cos i
Cette expression n’étant évaluée, du moins avec sa petite partie
en z, z', z", que pour les valeurs de i voisines de celle qui donne
AT • • • • • , „ (N, i) -
cosr=JM cosî et sint, cosî respectivement égaux a ■. on peut la
remplacer par
V/N 2 + j
/ r,\ \ZN 2 4-(1, AT .. /—AN
(i54) Q = —^— |(cosr—Ncosi)4-y — i —
£ C0C0 t 4-
N
cocüi/ N 2 -t- i
Si donc on a, pour la vibration incidente, 8 = cos A( t — Ix — ray)-,
la vibration réfléchie sera
8'= B cos [P -i- k(t -\-lx — my)\,
à la condition de poser la double égalité
(i55)
B(cos[3, sin fl) =
V/N 2
2 N
(cos r — N cos ¿),
AN
[-(■’
COCOj ■
N
COCO! / N 2
t]
On voit qu’ici l’amplitude B de la vibration réfléchie aura, conformé
ment à l’expérience, son minimum rapidement variable en sens
inverse de la longueur d’onde (à cause du facteur A réciproquement
proportionnel à la période), et, de plus, fonction, à l’indice N près,
£ "
des trois coefficients z, z'axi),, } propres à la couche de transi-
COü>!
tion, et non d’un simple coefficient spécifique de l’éther (appelé £ au
numéro précédent), comme dans la théorie de Cauchy.
Vu la valeur — de N, la nature de la couche de transition est repré-
COj
sentée en définitive, dans le phénomène étudié, par l’expression
COCO! ■
COCO}/ CO
COCOi
ai 4- a\
équivalente, en raison des significations de e, z', z", à l’intégrale dé-