Full text: Refroidissement et échauffement par rayonnement, conductibilité des tiges, lames et masses cristallines courants de convection, theorie mécanique de la lumière (Tome 2)

5^8 
PROPAGATION ET POLARISATION DK LA LUMIÈRE 
long du rayon, masse dont le produit par le demi-carré |o' 2 de la vi 
tesse sera F énergie actuelle totale, \(l— V x ) 8' 2 ¡x dz dry, de l’onde 
sur le faisceau considéré. La constance du produit \/1 — \ x § et, par 
suite, du produit \Jl—\ x V ou de son carré {l—-V^jS' 2 , sur une même 
onde, le long de chaque rayon, signifie donc que l’énergie actuelle 
totale de l’onde, évaluée comme si le corps était en repos mais que 
les rayons eussent leur direction relative (l — Y x , m—-V r , n—V z ), 
s’y conserve, ainsi qu’il arrive effectivement dans un corps immobile 
( p. 620). 
Mais revenons aux équations (¡3) du mouvement. 
La condition de compatibilité (¡3') ou (f3") ne laisse distinctes que 
deux de ces trois équations (¡3). 
L’une d’elles peut d’ailleurs être remplacée, comme on sait, par (a"). 
ür, vu le petit facteur IN 7 , on pourra mettre pour ij, dans le second 
membre de (oc"), la composante de ô suivant l’axe des x; de plus, au 
premier membre, 0 sera la somme du trinôme — (l\'~(- mV+ nZ') et 
dl 
de l’expression — 
à 
(K 
dz 
d'y 
dx dy 
seront aussi réductibles aux composantes de 
étant différentiés par 
suivant 
à(&, y> 
les x, y, z. Donc cette équation (a") fera connaître en fonction des 
valeurs de 0 la petite vitesse longitudinale, proportionnelle à 
V<é mr/-1- nt', 
et, par une intégration sur place, la petite composante analogue des 
déplacements, proportionnelle à l\ -é- nir { -+- nZ- 
On tirerait (a") des équations (¡3) (où £, y), Ç ont été réduits aux 
projections de 0), en les multipliant respectivement par l, m, n et 
ajoutant. Il vient ainsi, identiquement, après division par 2, 
, , r d . d . d h' 
— (I— Yx)W= -(/ 2 -w« 2 +/i 2 )0. 
( / X -t- m f] n Z ) 
Mais, ici, le trinôme l\ -t- mi\ -h n Z est partout nul. La relation 
obtenue se réduit donc à 
-— ( l — Y x )l'^ — - ( l 2 né 1 -H n 2 ) 6 ; 
et celle-ci n’est autre que (oc"), en vertu de l’équation (a') reliant l 
à N. Ainsi, l’équation (a") constitue bien une seconde combinaison 
linéaire des équations ( fi).
	        
Waiting...

Note to user

Dear user,

In response to current developments in the web technology used by the Goobi viewer, the software no longer supports your browser.

Please use one of the following browsers to display this page correctly.

Thank you.