l6 REFROIDISSEMENT D’UN MER A FACE RAYONNANTE ; FORMULE DE FOURIER
dont une Table, calculée par Kramp (dans son Mémoire Sur les
réfractions atmosphériques), donne les valeurs numériques, et
ceux de champ égal où w est positif, il vient bien
X
'Ici p
(P)
[quand f {x) u 0 \
= US f'
s/ü J n
e—w 2 rfw
&
Traitons l’équation (a) comme l’a été ( 24 ), c’est-à-dire, au fond, en multi
pliant (a) par le facteur d’intégrabilité e— a 'h* t dt et intégrant par rapport à t,
toujours à partir de l’époque t — o, où u — f(x) et où cp = f{x) — yf'(x);
puis multiplions les résultats par après avoir effectué la même intégration
par parties que sur (25). Nous aurons
(y) u — <p -f- — /'(x) — e a 3 A*
Mais la réduction de l’intégrale définie par laquelle se termine le second
membre, à la forme de celle qui exprime tp, comme il arrive dans (27), est
propre au cas où f(x)= const.; car ce cas est le seul où ep dépende de la va
riable unique ———y- et °ù s’applique le raisonnement fait après la formule (26).
a a\J t
Pour x très petit, c’est-à-dire sous la couche superficielle, où <p devient négli
geable dès que t a des valeurs sensibles, l’équation (a) se simplifie par la ré-
duction de son second membre au terme
a-h-f, qui, dans le cas de la for
cez;
mule (P), y devient (fcih—t Et l’équation (a) ainsi réduite, multipliée
\J tz “t
encore par e— ai, et dt, puis intégrée à partir de l’époque t = o, où u— f(x),
donne alors immédiatement
-aVCt
—/(») = — f
i J A
a 2 h 4^- e—clt,
dx
c’est-à-dire
(5) (pour x = o)
etPhn
r 1 d’D
f(x)— I ~ Q—aVCt a}/j ut
J A ClX
Dans le cas où f(x)= w 0 , tp admettant l’expression ( ¡3 ), il vient tout de suite,
si l’on pose ah\Jt — iù sous le signe Ç, la formule utilisée par Fourier et qui
porte ci-après le n° 31, savoir
oaïhH
2 p ah fl
du
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UU e aVi*t
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