T) ABSORPTION OU 1) EXTINCTION DES ONDES LUMINEUSES.
Or ces valeurs de te, 4*2 ne font différer le système (6) d’équations
(p. 47^), dont dépendent V, ¡a', v', du système (y) (p. 474), dont dépendent X,
¡a, v, que par le signe de \/ — 1. Donc les déterminants partiels X', ¡a', v' seront
les conjugués de X, ¡a, v. De plus, elles donnent immédiatement à (26) la forme
très sj^métrique
(28) XX' SU -H.. .-f- nv') X' ( Ik -h m[A + nv)]5L + ...= o,
où l’on voit, d’une part, que le coefficient de SU, produit des deux facteurs con
jugués k, X', est le carré de leur module commun; d’autre part, que le coefficient
de SL, somme de deux produits conjugués, est réel. Ainsi, l’équation (28) a bien
forme réelle, comme il le fallait.
Mais on voit aussi que chacun des deux produits conjugués dont il vient d’être
question possède un facteur trinôme, rX'+ m p'-t- n v' ou Ik h- /«¡a + nv, très
petit à raison de la quasi-transversalité des mouvements qui résulte, comme
on sait, de la petitesse de d, e, f, U, V, W. Donc les seuls termes notables de
l’équation (28) sont ceux en o(U, V, W); et cette équation est réductible, sen
siblement, à
(29) kk' 6U -l- ;a;a'6V -f- vv'SW = o.
Remplaçons-y SU, SV, SW par leurs valeurs
— 2——2 ( l SL+m SM + n 6N ), ...,
puis SA, ..., SN, Z, /n, n par leurs valeurs
k
(a?a', ..., —/cosy'),
cos(«, ft, y).
et nous aurons enfin le coefficient d’extinction f sous la nouvelle forme appro
chée, extrêmement simple,
kk'a’ -l- ¡a;a' b' -l- vv'c'
(3o)
/ = ( sensiblement)
cos V"
kk' ¡aia' vv'
XI. Introduction des directions successives de la vibration, dans la formule
du coefficient d’extinction. — Soit Ge?^ -1 la constante arbitraire affectant les
trois déplacements symboliques 1-, y, Ç; et désignons par l", m", n" les arguments
des trois quantités imaginaires k, ¡a, v, dont les modules sont [/kk 1 , y/¡au', V 77 '-
L’expression symbolique de £, par exemple, sera dès lors
G \ kk'eé~~^ lit - \-P+k\t—L.r— My — Nz)]^
ou bien, en appelant u la distance x cos a' -+-y cos ,3' 4- z cos y' du point (x, y, z )
à la face d’entrée de la lumière dans le corps translucide,
G \Jkk' e~f u e 4— 1 ig+i"+b(t—iï—my—nz)].
Le déplacement effectif \ suivant les x, dans le système physique considéré
d’ondes, en sera la partie réelle, savoir
( 3i )
H = G \/ XVe~~J u cos [g —¡— l" + k ( t — Ix — my — nz )].