Full text: Refroidissement et échauffement par rayonnement, conductibilité des tiges, lames et masses cristallines courants de convection, theorie mécanique de la lumière (Tome 2)

ÉQUATIONS DES FORCES VIVES ET DI! VIRIEL, 
62 2 
cient cp d’asymétrie par le rapport de la constante S des aires au carré moyen, 
DTL(i)' 2 + Ç' 2 ), delà vitesse vibratoire; et la première expression (5o) est la 
moyenne entre les trois carrés constants donnés a 2 , b 2 , e 2 , obtenue en attribuant 
à chacun, comme coefficient d’importance, la fraction qui exprime, dans l’in 
tensité lumineuse totale, la part due à la composante du mouvement vibratoire 
suivant l’axe principal correspondant. 
Dans le cas de vibrations rectilignes (où S = o), la formule (4g) redonne bien, 
pour a) 2 , la valeur approchée (179) ( p. 4'8), point de départ de toute cette géné 
ralisation. 
XIV. Équations des forces vives et du viriel, pour les milieux transparents 
doués d'un pouvoir rotatoire magnétique. — Essayons, en terminant, de faire 
pour nos milieux biréfringents dissymétriques, mais transparents, doués, comme 
on voit, d’une propriété identique ou analogue au pouvoir rotatoire magnétique, 
ce que nous avons fait, dans le Complément des pages 588 à 691, pour les mi 
lieux à pouvoir rotatoire ordinaire; cherchons ce qu’y deviennent les formules 
des forces vives et du viriel. 
Prenons les équations (S') de mouvement (p. 4§8) sous la forme 
(ai) 
T h" 
, a 2 b 1 c 2 
■y, )+ ( fr,'—eÇ', — fç'+dÇ', e|'—dr,') = A 2 (Ç,i), Ç) — 
d0 
d (x,y,z) 
où les accents de i, t\, Ç indiquent des dérivations en t. Et multiplions soit par 
(!•', V, Ç') dt du, pour avoir l’équation des forces vives, soit par ^ ( Ç, t;, Ç ) dm, 
pour avoir celle du viriel; puis ajoutons. Enfin, intégrons le résultat dans tout 
l’espace cr où se produit le mouvement. 
Dans le premier cas, les termes de dissymétrie, ou affectés de d, e, f, s’entre- 
détruisent. Donc les résistances productrices du pouvoir rotatoire ont travail 
nul; et l’équation des forces vives est, dans ces milieux, la même que dans 
les milieux symétriques correspondants où d, e, f s’évanouiraient, mais où a, 
b, c garderaient leurs valeurs. 
Dans le second cas, les termes de dissymétrie donnent en tout, au premier 
membre du résultat, l’intégrale 
(62) 
L 
îf , , — 7|V 
cfo. 
Nous y retrouvons les dérivées en t considérées tout à l’heure (p. 620), 
rf—Çï)', , du double des aires décrites, en projection sur les plans coor 
donnés, par le rayon vecteur (£, t], Ç) de la particule des d’éther. La fonction sous 
le signe Ç, dans (5a), est donc le produit de l’axe cp d’asymétrie par la dérivée 
en t de l’aire, Î2, que décrit le même rayon vecteur en projection sur un 
plan normal à cet axe d’asymétrie. Ainsi, les termes affectés de d, e, f intro 
duisent en tout, au premier membre de l’équation (s") du viriel (p. 286) et saul 
un facteur constant proportionnel à cp, l’expression 
(53) 
/ 
CT 
Î2 dzn. 
C’est donc une dérivée première (et non seconde) en t, qui vient s’adjoindre
	        
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