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ET DES COUCHES SUPÉRIEURES DU GLOBE TERRESTRE. 43
qui se trouvera, dès lors, satisfaite si l’on allribue, à la densité
disponible p(y, z) de la couclie, la formule — '■ -•
Ainsi l’on aura, comme solution du cas de réchauffement per
manent par contact,
i d r f(b, c) dv
■¿t. dx J a r
i C f(b,c)xd<j
f(b, c)x de
[a? 2 -t- (y — 6) 2 -t- (z — c) 2 ] 2
... . i du
Cela posé, il est clair que notre fonction auxiliaire z> = il ^
vérifie précisément, quand l’échauffement se fait par rayonnement,
les équations mêmes qui déterminent u quand il se fait par con
tact. Nous aurons donc
(ai)
?(^7> *)
— f
2 Tl J
’J G
f(b, c) x dG
s.
[x*-\- (y — 6) i 2 -t- (z — c) 2 ] 2
i cas 183. Détermination des températures internes permanentes.
, ou — Il ne reste plus qu’à intégrer l’équation, simplement différen-
ntiel lielle en x, reliant u à cp, laquelle est encore (10) (p. 8), avec la
à le même condition accessoire,
che,
d se
,éro.
tout
effi-
3 de
face
avec
(pour x — x) U = cp — O,
que dans le problème précédent. Par suite, l’expression de u
continue à être (i i), à cela près que les variables y, z figurent
maintenant, au lieu de t, dans la fonction auxiliaire cp; et les rai
sonnements qui suivent cette formule font encore voir que les
conditions spéciales soit à x — o, soit à x = oo, sont bien satis
faites par elle, ainsi que l’équation indéfinie A 2 u = o. D’ailleurs,
pour y ou z infini sans que x le soit, la formule (i i) donne u éva
nouissant, comme cp.
Enfin, vu l’expression actuelle (5i) de cp, l’on aura
(5'i)
IL =
G
f(b, c)(x-hÇ)dG
[(¿r-4-¡D 2 +(A —&) 2 -+-(*- C ) 2 F
teca-