56 ÉCHAUFFEMENT PERMANENT, PAR RAYONNEMENT,
AoZ> = o. Or deux différentiations successives de (66) en x donnent
dy du
dx dx
/iR Vdxi
/¿R V dx*
dx dy
d x u
dx' 1 dy
d ' 2 u
dx dz
d* u
dx 2 dz
L’on obtient de même-^j —r-zi et la somme des trois dérivées
dy 2 dz 2
secondes directes de cp donne, vu finalement l’équation A 2 u = o,
\ k k I / d\zu
(6 7 ) M=A
+ y
d \ 2 u d\-iii
dy
dz
2 A 9 M ) = o.
Ainsi, la fonction auxiliaire cp, ou, plus explicitement, ®(x,y, s),
satisfait précisément aux équations qui déterminaient u quand
réchauffement avait lieu par contact; et la formule (6i) lui est
applicable. En y substituant, d’une part, x, y, z à X, Y, Z, d’autre
part, sous le signe j', u e ou w e («, b, c) à u et
O — a) 2 H-O— bf+(z- c)*
à r 2 , il vient
(68)
R2 — x i yi —
4 tt R
u c (a, c) dz
\ [(a? — — by-h(z — c) 2 ] 5
192. Température au centre de la sphère. — Au centre, où x,
j, 3 sont nuis, cette formule devient, vu d’ailleurs que cp s’y ré
duit à u c et que a 2 + b 2 -1- c 2 —R 2 ,
< 6 9)
dz
La température u c , au centre de la sphère, est donc, suivant
une importante remarque de Poisson, la moyenne des tempé
ratures extérieures permanentes u e ci la surface. On aurait pu
le déduire de cette circonstance, que, dans l’état permanent sup
posé, le flux total de chaleur extérieure, Jk(u c —u) dz ou
kj\u e — u) dz., entrant par unité de temps dans la sphère, est