40. NOTES CRITIQUES SUR DOMNINOS.
2 I 5
aùxoG vi (/.epv). La leçon des manuscrits, ixavxôç, peut être conservée,
car elle représente la formule du lemme.
L. 9. ixàç âpiOpiQç (7UGT7][xa [xovà&o; Ècxiv. Lire [/.ovacfcov, comme dans
la définition du nombre donnée par Domninos, et que Jamblique
attribue à Thalès.
P. 420, 1. 8. xpfa e. Lire xpia TO(/,7rra.
L. 20. Eì òè ó xaxo&eiœôelç àpiGpLo; pipoç eï» xoO è^àxxovoç àpiGptoG. Au
lieu de pt-spoç, il faut lire jxépyi, car le cas où le reste est un seul
quantième vient d’être traité pour le multiple épimore, et nous
sommes ici à la définition du multiple épimère.
L. dernière. Kal aùxai etciv ai T^yoptEvat xaxà àvuydxvixoç G^écEtç.
Pour &è, Boissonade propose ch/i ; mais il faut certainement lire,
au lieu de &è xaxà x-?,ç, ^s'xa xyi'ç (ce qu’on appelle les dix relations
d’inégalité).
P. 42 ï, 1. 3 en remontant, oioç 6 iz ècxiv àpiGp-oç. Tòv rie Èlàxxova
xüv éauxoG p,£pwv èXkaçri xexXvpta.Gt.v àpiGpeov, oxi yàp ÈXàxxovà egxiv aùxoG jcal
èXkmri xà aùxoG 1 p.epr, • oioç ó vf. Tòv ris [xsi^ova xcov ÉauxoG p,sp2>v u'jxepxel'/i
TCpoxviyópfiuaav àpiOaov, oxi òttep7C£pt.G , <x£U£t aòxòv xà ÉauxoG p.epvj • o : .ov ó
Pour la première phrase, Boissonade a suivi la leçon de V ;
A donne olo; ò vi ècxlv àpiGpwç. Mais il s’agit d’un exemple de nom
bre parfait, et ni 15 ni 8 ne conviennent, d’après A, on peut
restituer avec probabilité o>ov ô ç', ô x,ri &<mv ¿pi9pt.ôç, 6 et 28 étant
les premiers nombres parfaits bien connus comme tels de tous les
arithméticiens grecs ; si l’on suppose queoTov, avant ùç f , était écrit
en abrégé, on s’explique que oTov ó ç soit devenu oîoç (dans le
texte qui suit, je préférerais de même oTov 6 V au lieu de oloç 6 n' ;
voir à la fin, olov ô iê'). Le x de xn', mal lu par le copiste, aura de
même été supprimé par lui. Plus loin, le copiste a encore inter
verti les mots s^àxxova et [/.Ei^ova, dans xòv é'Xaxxova... xòv
ï. On attendrait xà aúxou \iépr¡. (O. R[iemann]).