d
• 2 TT
sin U
e ,
P
U étant la valeur du demi angle au sommet sous lequel on voit le diamètre,
distance principale.
P étant la
Figure 3
Pratiquement, il est peu avantageux de déterminer
la direction du centre de plaque lui-même, car il est ma
térialisé sur nos réseaux par une croix dont les branches
ont une orientation variable par rapport au plan dans le
quel se font les visées. On admet que la direction du cen
tre de plaque se confond avec celle de la bissectrice cor
respondant à un cercle de petit rayon : pour R = 1 cm et
e = 30 p le défaut de coïncidence entre ces deux direc
tions est de 1 dmgr.
L’erreur de centrage d est théoriquement une fonc
tion sinusoïdale de a, azimut du plan méridien dans lequel
se font les visées. (Nous devrions dire pseudo-plan méri
dien puisqu’il n’y a pas d’axe de révolution). Dans un plan
méridien d’azimut a, l’erreur de centrage sera
d a = ~ ( w 8 + W - 8 ) - — (W x + W_ x )
2 2
Figure 4
Les symboles Wg etc ... ont la si
gnification indiquée sur la figure 4. Ce
sont les lectures faites au photogoniomè
tre.
Nous définirons le centre de symétrie
S comme étant le point du fond de chambre
sur lequel il faudrait centrer les cercles
pour obtenir d = 0, quel que soit a. Si le
point S a été déterminé à l’aide du cercle
de rayon R cm gravé sur le réseau, nous
le désignerons par .
Le phénomène "aller-retour 11
On a constaté que les quantités d a et
d , qui devraient être égales et de
3. T ftUU
signes contraires, ne vérifiaient pas cette
condition. Autrement dit, deux directions,
liées par définition à l’appareil de prise
de vues, sont déterminées avec des erreurs
qui dépendent de la position de la chambre
par rapport au photogoniomètre.
Le tableau I donne quelques exemples
de ce phénomène dont l’ampleur est carac
térisée par les valeurs de la quantité
d a + d a + 200 • dans tous les cas, l’erreur
de centrage a été mesurée pour le cercle
de rayon R = 8 cm.
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