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TABLEAU IV
Appareil
e d
e d
n - 2
43
1,3
2,1
6
42
1,2
2,2
6
34 R = 8
1,5
1,7
2
34 R = 5
1,6
1,0
2
17 R = 8,5
1,3
3,1
6
17 R = 8,0
1,2
1,5
6
17 R = 7,5
1,1
1,4
6
17 R = 7,0
1,1
1,8
6
17 R = 6,5
1,1
1,9
6
17 R = 5,0
1,1
1,5
6
17 R = 5, 5
1,1
1,7
6
17 R = 5,0
1,0
1,3
le nombre d’observations surabondantes dans le calcul de p et q (n est le nombre de plans méri
diens dans lesquels ont été faites les observations).
Ce tableau nous montre que la plus grosse partie de e’^ est e^ : c’est-à-dire que les
erreurs ayant pour origine les traits du limbe, et les corrections de réseau ou ses mouvements,
sont très faibles.
D’autre part, dans les cas étudiés, nous ne constatons pas l’existence de défaut d’ho
mogénéité du verre, ou de surface. Le contrôle d’autres objectifs avec le même photogoniomè
tre et lp même réseau nous fournira donc un critère de qualité des lentilles constitutives. C’est
ainsi que l’appareil n° 10 est moins bon. Nous trouvons systématiquement e’^ supérieur à 5 dmgr
pour n - 2 = 2.
Nous pouvons conclure que la détermination du centre de symétrie peut être très préci
se. Ce fait trouve sa confirmation dans les graphiques de la planche II où lés points S sont ali-
gnés quasi parfaitement. Naturellement, nous ne pouvons exclure l’existence d’erreurs systé
matiques, l’expérience nous ayant rendus prudents en la matière.
ETUDE DE LA DISTORSION
L’indice de distorsion, mesuré au photogoniomètre, est défini de la façon suivante : un
cercle de rayon R = 8 cm situé dans le plan du fond de chambre est vu sous un angle 2 U g = Wg
+ 400 - W g que l’on mesure au photogoniomètre. On en déduit la distance principale
P Q = (P en cm)
8 ^ U 8
En l’absence de distorsion, le cercle R = 11 cm serait vu sous l’angle 2 U’^ défini par
tg U’
11
11
P8