8 INDE. INVENTAIRE DES RESSOURCES NATURELLES
c. Convoyage et mise en place.
On tiehdra compte du temps de déplacement entre les divers aérodromes de la façon
suivante
*" 6 232 km ; (38 x 10).
39 x 16h c 77 2717,80 hi4 o =/24,15 h
Le temps de voyage, d'Europe occidentale en Inde est de
7 716
350
= 22 h Paris ... New-Delhi
+ 4 escales x LO! = 4O' = 1 h +22 h = 23 h x2 = 48 h
pour l'aller et le retour
Les délais d'exécution étant supposés de trois ans, dans le but à la fois de donner
de l'aisance au financement et de réduire le nombre d'entreprises traitantes (contróle
et homogénéité), on peut prévoir qu'il sera nécessaire d'avoir recours au minimum à qua-
tre entreprises différentes. Il y aura donc : 46 h x 4 = 184 h de vol A.R., mais il faut
compter que chaque entreprise devra disposer de deux avions, ce qui donne en définitive
368 h + 24,15 h = 392,15 h, à ventiler sur l'ensemble de l'opération.
Sources.
SION (J.).- Géographie Universelle, Asie des Moussons, IX, A. Colin, Paris, 1929.
DURAND DASTES (F.).- Géographie de l'Inde. Presses Universitaires de France, Paris, 1965,
Climatological Atlas for Airmen. Government of India - Poona, 1943.
Additif (13 juin 1968).
L'utilisation d'appareils jets réduirait le temps d'exécution dans des proportions
considérables, puisqu'il pourrait être ramené à dix-huit mois environ. Le temps de vol
pourrait étre estimé alors à 2 300 h pour une vitesse horaire de travail de l'ordre de
800 km/h.
Les prix actuellement pratiqués en Europe avoisinnent 500 à 550 $ U.S. de l'heure
auxquels viennent s'ajouter les frais d'hébergement de l'équipage. On ne pourrait donc
pas espérer une économie sur le coût total des heures de vol qui se chiffre approximati-
vement comme suit
- Heures de vol .............. z-l 375 000
- Frais d'équipage
(24 personnes pendant un an et demi) ... = 270 000
1 645 000 $ U.S.
soit en FF e.....0.0.0000000.0 000 8 150 000 FF
Ce chiffre est à rapprocher des 7 050 000 FF, somme qui résulte de l'emploi d'avions
à moteurs conventionnels.
De plus, les problèmes de ravitaillement en kérosène et de maintenance se poseraient
probablement. Ainsi, sommairement, il ne semble pas que le recours aux jets soit à pré-
coniser. Il convient de considérer, en outre, qu'il serait nécessaire de réunir huit
avions de ce type, équipés pour les prises de vue aériennes. Ce qui, dans l'état actuel
de cette activité, ne paraît pas réalisable.
I.I FN RIF X 4.
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s
là
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