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possibilities for themselves. They do not accept their misery any longer as a
state of affairs. They are longing for a better life. It is the great task of coun
tries with highly developed techniques and more efficient economic systems to
raise their standard of living for the benefit, not only of the poor, but also of
the rich.
The activity for this tremendous program has just started. We know,
however, that no economic development program for a large area can be effi
cient and be completed within a reasonable time without an adequate aerial
survey. We cannot permit ourselves to travel the old, slow roads. There is in
this program a struggle against time. The awakening peoples want to see some
progress. The slightest improvement will be hailed immediately as a great
success. They cannot and they will not wait, however. Therefore, aerial surveys
are of great importance, not only photogrammetry, but even more important,
the use of the photograph as an economic tool, for studies of natural resources,
for the taking of censuses, etc.
It is on this limited, narrow field that we aerial surveymen contribute to
this world-wide program, each in his own field, some of us, indirectly or
directly, in the International Training Centre in Delft, the Netherlands. We
all together, however, are on the way to assist in this tremendous, fascinating
program that perhaps will determine the future of our children and of the
world.
ALLOCUTION DU PROFESSEUR DR. W. SCHERMERHORN
AU BANQUET D’ADIEU DE LA SOCIETE INTER
NATIONALE DE PHOTOGRAMMETRIE.
15 SEPTEMBRE 1952.
Monsieur le President, Mesdames et Messieurs,
Comme représentant du groupe qu’a organisé le Congrès de La Haye en
1948, ce m’est un honneur et un plaisir de donner quelques commentaires sur
ce Congrès mondial de Photogrammétrie de Washington.
D’abord vous vous rappellerez que, comme en 1948 à La Haye, je ne suis
que l’orateur du groupe, et que, comme beaucoup d’entre vous le savent, la
besogne elle-même a été faite en 1948 par mon ami Scherpbier.
Si j’essaie maintenant de comparer ces deux importants événements photo
grammétriques, il y a d’abord une différence d’échelle. Pour faire la comparai
son, il faudrait mettre le Congrès de La Haye dans un appareil de restitution
américain tel que le Kelsh Plotter, et se servir du coeffi-d’agrandissement qu’ii
est nécessaire d’employer sur cet appareil.
Nous pourrions peut-être ensuite déterminer le facteur américain C des
deux congrès.
Il est vrai que ceux d’entre vous qui ont assisté à la réunion de la Société
Américaine de Photogrammétrie en 1951 se souviendront peut-être que, à
l’époque, j’ai fortement repoussé l’usage de cette expression pas très exacte. Je
dois admettre que je me surprends maintenant moi-même à parler du facteur
C. Il semble typiquement américain, c.à.d. d’un emploi commode et facile.
En outre, je crois que la détermination de l’écart-type d’efficacité de ce
Congrès de Washington ne serait pas plus précise que celle de son facteur C,