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ches sur l’étalonnage des chambres métriques. Il y a une autre remarque à faire
à la Section 2 en général: l’établissement d’une suite complète des définitions
fondamentales de la photogrammétrie, de préférence en plusieurs langues, n’a
pas pu être terminé dans le temps imparti. Ce devrait être une partie de notre
programme pour le proche avenir.
Je suis tout à fait d’accord sur la rédaction des Sections 3 et 4, qui traitent
de la mesure de l’éclairement dans le plan focal et de la lumière parasite.
Jetant un coup d’oeil à l’ensemble du projet, nous pouvons affirmer que
notre oeuvre n’est pas encore achevée, car pour donner des résultats réellement
comparables, il nous faut un procédé unique, internationalement normalisé. Le
travail n’a pas pu être terminé, parce qu’il nous fait encore mieux connaître ce
qui se passe exactement dans la formation de l’image photographique, et que
nous ne savons pas encore suffisamment à quel point les méthodes proposées
seront comparables et comment elles se comporteront dans la pratiques. Ce
n’est que lorsque nous aurons acquis de plus amples connaissances de base et
une plus grande expérience que nous atteindrons notre ultime but. Le grand
mérite du présent projet est qu’il nous met à même d’acquérir cette expérience.
Je puis donc recommander avec empressement l’adoption du projet de base.
Mr. J. E. Odie, Angleterre:
La voie que mène un constructeur aux instruments de levé aérien est jalon
née de considérations pratiques. Un projet d’adoption de normes internatio
nales est donc le bienvenu. Même s’il n’est pas possible, au cours de ce congrès,
d’arriver à des conclusions satisfaisantes pour tous, la discussion doit éliminer
les malentendus et assurer la normalisation des concepts, si ce n’est celle des
méthodes.
Notre Laboratoire de Photographie exécute les travaux optiques ci-après
mentionnés; bien que ne relevant pas strictement de l’étalonnage des chambres,
on doit accorder quelque attention aux questions citées, puisqu’elles peuvent
annihiler les efforts du constructeur.
a) — contrôle de l’homogénéité des glaces fermant les trappes des avions;
b) — contrôle des filtres colorés pour:
1) la transmission,
2) l’homogénéité et le parallélisme des faces,
3) la précision de la gradation dépôts compensateurs.
Nous délivrons des certificats pour le contrôle normalisé des chambres de
prise de vues depuis sept ans.
Voici mes commentaires de détail sur le projet:
1.3.4. Mire de Cobb: nous utilisons deux lignes brillantes sur fond sombre.
2. Etalonnage: nous sommes d’accord pour dire que la méthode photographi
que d’étalonnage est la plus désirable, parce qu’elle s’approche des conditions
réelles d’emploi. D’autre part, à condition d’employer des méthodes précises,
nous n’avons pas trouvé de différences fondamentales entre les résultats des
contrôles photographiques et visuels, et, de fait, nous utilisons maintenant les
deux techniques. Quand il s’agit de production en série, il apparaît que le con
trôle visuel offre une économie certaine de temps. Contrairement à ce que nous
pensions de la question il y a un an à peu près, nous tendons maintenant vers
l’étalonnage visuel. Notre confiance sur l’interchangeabilité des deux méthodes