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courbure sagittale et tangentiale de l’image et le degré de la distorsion) sont 
données ordinairement, Parfois ces dates sont enregistrées en des tableaux, 
mais il faut noter, qu’il est défendu de conclure aux qualités du système optique, 
comme il a dit déjà Mr. W. Merté, un collaborateur de Zeiss. Au lieu de cette 
manière de déscription des fautes d’image d’un système optique centré d’autres 
auteurs employent des caractéristiques qui signifient la relation entre l’image 
idéale et l’image obtenue. Cette classification n’a qu’une valeur sommaire parce 
qu’elle ne considère pas les fautes individuelles. Comme la critique de la qualité 
d’un verre objectif demande un savoir spécial, l’auteur s’est décidé de trouver 
un autre méthode pour démonstrer les fautes de lentille qui donne la possibilité 
de juger très facilement un verre objectif. Comme object, l’auteur choit les 
astres, parce qu’ils sont des sources de lumière ayant la forme d’un point. En 
faisant ces images photographiques, il est nécessaire de focuser exactement, 
ce qui est possible par des „traces linéaires des astres” (Strichspuren). L’exploi 
tation de ces „traces” est faites à l’aide d’un photomètre photoélectrique qui 
permet de constater facilement parmis toutes les traces celle de la plus grande 
densité. La densité maximale est une preuve meilleure pour avoir focusé juste 
ment que la largeur des „traces”. Une diagramme (densité sur la déplacement 
du verre objectif) donne la possibilité de trouver la position du foyer d’une 
précision qui est meilleur qu’une promille de la longeur focale. On peut déjà 
juger d’après cette diagramme la qualité, parce que le maximum de la courbure 
d’un bon verre objectif doit être aigu. En employant l’optique focusé justement 
en fait une photographie célèste dans la manière ordinaire. Des agrandissements 
des parties differentes de cette plaque photographique sont faits qui ont une 
distance de 3 dégré l’une de l’autre, commençant au centre. L’auteur montre 
à un grand tableau ou les agrandissements sont alignés, les épreuves de plusieur 
verres objectif. On voit bien toutes les fautes de lentille. Si l’on photographe 
en deux parties spectrales on reçoit une image de l’aberration chromatique du 
verre objectif examiné. A la fin l’auteur propose de photographer toujours le 
même astre en éloignant l’axe de la camera de 3 à 3 dégré de l’astre. A cette 
manière on peut constater la réduction de l’intensité de la lumière du centre 
vers la limitation du champ de vision. 
TOPAR 1 : 4/f = 210 mm FÜR 18 X 18 cm LUFTBILDKAMERAS 
Robert Richter. 
Auf dem Prinzip der bekannten Topogon-Konstruktion ist bei Zeiss ein 
neues Objektiv für Luftbildaufnahmen entstanden, das Topar 1 : 4 f = 210 mm 
für Format 18X18 cm. 
Bei diesem Objektiv ist es gelungen, die Bildfehler, die den entsprechenden 
Vorkriegsobjektiven anhafteten, auf rund 2/5 ihrer Beträge zu reduzieren. 
Experimentelle Prüfungen haben bestätigt, daß das Objektiv eine vorzügliche 
Definition für das ausgenutzte Bildfeld aufweist. Die Verzeichnung ist so gering, 
daß das Objektiv praktisch verzeichnungsfrei ist.