Full text: Actes du 7ième Congrès International de Photogrammétrie (Premier fascicule)

(310) 
Mr. Poivilliers exprime alors ses regrets que des communications de ce genre 
soient présentées, sans aucune indication des procédés employés, et que les auteurs 
se retranchent ensuite derrière des questions de secret pour ne donner aucune 
explication. 
A 15 H.48, M. Eden (Angleterre) présente „Quelques aspects de la Photo- 
grammétrie en Grande Bretagne.” 
A 15 H.55, Mr. Scherpbier (Pays-Bas) résume sa communication: „Applica 
tion de la Photogrammétrie au tracé des routes en région tropicale.” 
A 16 H.02, Mr. von Frijtag Drabbe (Pays-Bas) présente: „Quelques aspects 
nouveaux de la vision stéréoscopique.” 
A 16 H. 14, Mr. Nistri (Italie) présente à la place de Mr. Parenti la com 
munication: „Reproduction photographique comme intermédiaire entre la prise 
de vues et la restitution.” 
A 16 H.27, Mr. Daniel (France) résume, au nom de l’Institut Géographique 
National la monographie sur „La carte du Grand Duché de Luxembourg”, puis 
la communication intitulé „La Photogrammétrie à l’Institut Géographique 
National.” 
Aucune discussion ne suit la présentation de ces diverses communications et 
la séance est close à 16 FI.50. 
Séance du 12 septembre. 
Cette séance était consacrée, comme nous l’avons dit à l’élaboration des 
voeux à émettre par la Commission II pour être présentés au Bureau de la So 
ciété Internationale. 
La séance est ouverte à 13 H.28. 
Le Président donne lecture de la proposition rédigée par la Délégation 
Française pour l’organisation de compétitions internationales. 
Mr. Harry demande la parole (13 H.35). Il se déclare d’accord en principe 
sur la recherche des normes. Mais est-ce que la proposition française ne va pas 
trop loin? Ne peut-on se contenter de normes pour les appareils de restitution: 
grandes échelles, petites échelles, cheminement photogrammétrique. Mr. Poivil 
liers répond sur la difficulté d’établir des normes. A qui donnerait-on le con 
trôle? D’autre part les normes ne porteront que sur la précision et non sur le ren 
dement et la commodité d’emploi. Mr. Poivilliers expose quelques difficultés 
prévisibles pour réaliser la proposition française: prise de vues, déplacement des 
appareils de restitution, choix du lieu de l’expérience, organisation des contrôles, 
mais tout cela ne semble pas insurmontable. Peut-être les constructeurs trouve 
ront ils trop onéreux de déplacer des appareils pour une telle compétition, mais 
ils en transportent bien pour les présenter dans des expositions. 
A 13 H.43, Mr. Blachut (Canada) demande la parole. A son avis, la propo 
sition française va trop loin. Le rôle de la S.I.P. peut-être de fixer les modes de 
contrôle et de guider dans le choix des normes, mais constituer une autorité 
internationale pourra conduire à des dissensions graves entre les pays. Une autre 
difficulté serait le choix du lieu de la compétition et la constitution du Jury. 
Ce Jury international n’aurait pas l’autorité nécessaire parce que beaucoup de 
pays refuseraient de se soumettre à ses décisions. Mr. Blachut croit plus sage
	        
Waiting...

Note to user

Dear user,

In response to current developments in the web technology used by the Goobi viewer, the software no longer supports your browser.

Please use one of the following browsers to display this page correctly.

Thank you.