Full text: Actes du 7ième Congrès International de Photogrammétrie (Premier fascicule)

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t apporte de nouvelles 
sous-développées, 
datent des débuts du 
>ays. C’étaient aussi les 
ain de la Conservation 
tion des terres dans les 
ser en hâte de bonnes 
photogrammétrie. 
>ire indien de Navajo. 
•entière utilisation, qui 
ise permettant de cal- 
ces 20 années. Depuis 
> sur nos têtes presque 
cynisme, nous ne pou- 
névitable en ce monde 
asse derrière le Rideau 
nprendre ce qui arrive 
aonde libre est de plus 
existe aujourd’hui une 
t jamais dans l’histoire, 
;ion plus universelle et 
ou femme, qu’il n’en 
as pression. Observez 
s pays que nous quali- 
iets et luttant vers un 
ample héritage de sus- 
:s maux du présent, 
et nations collaborent 
ans de nombreux cas, 
nonde, dans les années 
:s nations en vue d’éli- 
l’ignorance et les con- 
tel que l’Organisation 
Mondiale de la Santé, 
euses nations à se pen- 
monde — ces nations 
égions plus industriali- 
:rdues. Elles cherchent 
populations, elles lut 
te leurs habitants, elles 
mique aussi bien que 
Ces peuples rencontrent aujourd’hui de solides appuis pour leurs efforts. Il 
n’y a pas seulement l’aide fournie par les Nations Unies sous forme d’assistance 
technique, là où elle est nécessaire, mais de nombreuses nations augmentent 
leurs appuis directement grâce à des programmes bilatéraux. Diverses organisa 
tions internationales de prêt, telles que notre Banque Export-Import des Etats- 
Unis et la Banque Internationale pour la Reconstruction et le Développement, 
contribuent au financement des routes, des écoles, des sources d’énergie, des 
ports, des installations industrielles et d’autres activités apportant une plus 
grande richesse. 
Des fondations privées et des organisations bénévoles de toutes sortes off 
rent une assistance technique et financière au développement des activités indi 
viduelles. 
Des sociétés professionnelles internationales telles que la vôtre apportent 
l’énergie nécessaire au ferme maintien du monde libre dans un faisceau plus 
puissant d’amitié et d’efforts faits en commun. Les sociétés professionnelles 
fournissent une tribune démocratique pour l’échange libre d’informations tech 
niques et c’est absolument essentiel si nous devons jamais atteindre cette sorte 
de communauté internationale que nous recherchons. 
Par le canal du programme exprimé par le Point 4, les Etats-Unis coopè 
rent directement avec les gouvernements et les peuples de 35 nations, leur 
venant en aide dans les efforts qu’ils font eux-mêmes pour s’aider. 
Nous appelons ces pays sous-développés parce qu’ils détiennent des res 
sources qu’ils n’utilisent pas aussi pleinement qu’ils le pourraient, ressources que 
leurs populations pourraient utiliser pour atteindre un meilleur niveau de vie et 
accroître leur prospérité et leur sécurité nationale. Naturellement, toutes les 
nations sont plus ou moins sous-développées, la différence étant simplement une 
question de degré. 
Dans la vaste zone constituée par l’Amérique latine, l’Afr'que, le Proche- 
Orient, l’Asie méridionale et le Pacifique — une zone qui renferme un milliard 
d’habitants — une révolution technologique form’dable prend corps. Les peup 
les s’éveillent aux possibilités que le vingtième Siècle leur offre. Dans cette révo 
lution, le Programme américain défini par le point 4 n’est relativement que de 
peu d’importance en argent et en hommes mis en oeuvre, mais il joue un rôle 
déterminant par les réactions en chaîne qu’il déclenche çà et là. Je veux signaler 
ici que d’autres nations aussi étendent l’assistance technique et économique à 
leurs voisins dans la communauté universelle. Le Plan de Colombo du Com- 
monwealth britannique est particulièrement significatif. Je ne veux pas donner 
l’impression que les Etats-Unis jouent un rôle isolé. Nous nous considérons 
plutôt comme associés à un mouvement révolutionnaire auquel prennent part 
la plupart des peuples du monde libre. 
Savants, professeurs, infirmières, ingénieurs, docteurs, techniciens de toutes 
nations, aident à allumer les foyers du progrès. A des peuples pour lesquels 
chaque siècle a ressemblé exactement au siècle qui l’a précédé, ces techniciens 
démontrent que la pauvreté, l’analphabétisme, la maladie et l’ignorance ne sent 
pas nécessairement le lot de l’humanité. Ils leur montrent que quelque chose 
peut être fait à cet égard. Ils prouvent aux peuples de tous les pays qu’ils ont 
des amis et des voisoins dans d’autres parties du monde qui s’intéressent à les 
aider à traiter les problèmes qui se posent à eux depuis longtemps en profitant
	        
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