erage scales for various
/eys, location of hydro-
detion. For the needs of
: 500.000 scale covering
dso done by I.G.M.
f the Ministry of Public
domain of colonial pho-
)jects having to do with
3r the construction of
*veys, etc.
r of Photogrammetry of
)r Pauwen continued its
v methods of aerotrian-
>airs, and the production
3ed and research in this
ks to the works of Pro-
versite Libre de Bruxel-
Jniversite de Gand) and
e Commission III at the
of photogrammetry are
que and of Mr. Pastiels,
: studies on the Lamel-
from 4 to 50 mm with
"uippe, professor of the
of Mr. Tavernier, pro-
3ils) interpretation from
e Gevaert photographic
contrast emulsions, fine
t of camera supports for
.GIQUE
slgique au 1/25.000e par
ette période par les soins
>sentiellement différentes
La Haute et la Moyenne
iasse-Belgique est carto-
océder à une mise à jour
travail doit être mené à
(55)
bonne fin en deux ans. Cette mise à jour se fait à l’aide d’une couverture photo
graphique récente en utilisant des procédés de restitution simplifiée.
Le service de topographie et de photogrammétrie du Ministère des Travaux
Publics a poursuivi l’élaboration des plans des grandes agglomérations à l’échelle
du l/5000e. En 42 mois 53.000 ha. de terrain ont été restitués. Il a, de plus, pro
duit les plans nécessaires à l’étude des projets de grands travaux en Belgique.
Un effort a été tenté en vue d’uniformiser l’échelle de 1/1000e pour ces plans.
Ce n’est que dans des cas exceptionnels que l’échelle choisie sera de l/5000e. Le
service de Topographie et de Photogrammétrie a établi des plans pour l’étude
de 300 km de voies de communication en deux ans.
L’Administration du Cadastre a fait procéder en 1950 à un essai d’etablisse
ment de plan cadastral de la commune de Waterloo par voie aérophotogram
métrique. Les conclusions ne sont pas encore définitives. Si la précision requise
semble pouvoir être atteinte, la solution envisagée s’est révélée trop coûteuse et
d’un rendement insuffisant. D’autres essais sont à l’étude.
Sur le plan des travaux de Cartographie Coloniale est à signaler la création
de l’Institut Géographique du Congo Belge, organisme chargé de l’élaboration
et de la publication de la carte du Congo Belge et du Ruanda-Urundi ainsi que
de l’exécution des travaux géodésique topographiques et cartographiques néces
saires.
Dans le cadre de la Cartographie Coloniale, l’Institut Géographique Mili
taire a restitué pour l’I.G.C.B. un levé de 1500 km 2 dans la région de Bakwanga
à l’échelle du 1/10.000e. Il a effectué en quatre campagnes de prise de vue (7
mois de présence effective) la couverture régulière de 116.000 km 2 au 40.000e
et 6500 km 2 au 20.000e et 10.000e dans la région du Katanga. Il a confectionné
22.000 km 2 de mosaïque non contrôlée, 45.000 km 2 de mosaïque contrôlée et
8000 km 2 de photoplans.
La restitution en vue de l’établissement de la carte au 1/100.000e de deux
degrés carrés, Sokele et Haut-Lomami va être entamée. Les points au sol ont été
levés par le service géographique et géologique du Comité Spécial du Katanga.
La restitution de 5000 km 2 aux moyennes échelles pour des levés divers (avant-
projets de chemin de fer, cadastre rural ou minier, établissement de centrales
hydroélectriques, etc.. .) a été exécutée ou est en cours d’exécution. Pour les
besoins de la base militaire de Kamina, une carte aéronautique au 1/500.000e
couvrant une superficie de 440 km X 330 km a également été élaborée par
l’I.G.M.
Le Service de topographie et de photogrammétrie du Ministère des Travaux
Publics lui aussi a déployé une grande activité dans le domaine des travaux
photogrammétriques coloniaux. Citons des plans pour projets de voies de com
munication et de lignes de transport d’énergie, des études pour centrales hydro
électriques, les levés cadastraux de zones urbaines ou suburbaines, etc.. .
Dans le domaine des études et recherches, le Laboratoire de photogram
métrie de l’Université de Liège sous la direction de Professor Pauwen a continué
son activité. Il s’est principalement occupé de la mise au point d’une nouvelle
méthode de connexion des clichés aériens, d’études de la méthode dite des bases
et azimuts, de la réalisation d’un nouveau type de baromètre et de statoscope.
L’enseignement de la photogrammétrie s’est développé et les recherches
dans ce domaine ont reçu une impulsion nouvelle en Belgique grâce aux travaux
des professeurs Baetsle (Ecole Royale Militaire), Letroye (Université Libre de