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En définitive, l'étude des couples préparés conduit à attribuer à chacun
d'eux :
— ]| coefficient d'échelle : K (valeur approchée E multipliée par p);
— 2 paramétres d'orientement des verticales : d 9 et d 9;
— ] paramétre d'orientation planimétrique : ' ;
,
— 3 paramètres fixant les origines des coordonnées : X,, Y,, Ho-
CALCUL DE LA TRANSMISSION DES PARAMETRES
Des paramètres calculés pour le couple de départ de la bande, et des
mesures faites sur l'appareil a chaque formation d'image, on peut déduire
de proche en proche les paramétres d'échelle et d'orientement relatifs à
chacun des couples de la bande. Pour faire ce calcul, on a souvent le choix
entre 2 méthodes différentes, basées par exemple, soit sur la comparaison des
coordonnées des points de connexion mesurées dans 2 couples successifs, soit
sur les variations de convergence et de déversement du cliché commun aux
2 couples, mesurées sur les cercles gradués de l'appareil; les deux méthodes
donnent d'aileurs des résultats équivalents, on peut choisir n'importe
laquelle, mais il est précieux de disposer d'une méthode de contróle pouvant
permettre parfois de déceler une erreur.
Transmission de l'orientation longitudinale et de l'orientation planimé-
trique.
Lorsqu on passe de l'image plastique (p—1) p a l'image plastique
p (p + 1), la condition imposée de n'introduire ni By ni Bz oblige à agir
sur la convergence et sur le déversement du cliché p; or la variation de
convergence peut se mesurer directement sur les cercles de l'appareil mais
il n'en est pas de méme pour la variation de déversement; en outre, la
rotation en déversement ne s'effectue pas rigoureusement autour de l'axe
des z, mais autour de l'axe principal de la chambre; il en résulte que le
déplacement donné à la chambre p équivaut à 2 rotations 0, ç et ) autour
des 3 axes Ox, Oy et Oz.
Les mesures dont on dispose pour déterminer ces quantités sont les
angles d'azimut et de site dans le couple (p —1) p: o, o,, i, 1, d'un
détail des 2 repéres de plaque haut et bas, et les mémes angles dans le couple
p (p 4 lI : oy a. p. I.
B H B
En considérant les quantités 0 et ; comme du 1°" ordre de petitesse
(inférieures en général à 2 ou 3 grades), on peut admettre que ¢ est du
2° ordre, et on démontre facilement que, au 3° ordre près, 0 et ¢ vérifient
les relations :
o d al A ou
H
Vy tg, me c0
B B B
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