"iste QUTD TE ESS
DIESEN
REE RI RY
(746)
leur interprétation: comparaison des photos horizontales, obliques et verticales:
influence de l'orientation favorable ou défavorable de la photo verticale.
Redressement perspectif de parties de l’image, orientation d’après l’angle d’éclai-
rage, redressement topographique. Quelques exemples montrent les relations
entre la forme du terrain et son revêtement. Celui-ci, le plus souvent très visible,
indique fréquemment les formes difficilement reconnaissables du terrain. Un
autre chapitre traite l’examen stéréoscopique.
Hagen, T.: “Wissenschaftliche Luftbild-Inter pretation”. Communications
de l'Institut de géodésie de l'Ecole polytechnique fédérale de Zurich. Edition
Leeman, Zurich 1950. Tirage à part de "Geographica Helvetica", 1950.
Hagen, T'.: “Das westliche Sántisgebirge photographisch gesehen und bear-
beitet”. Communications de l’Institut de géodésie de l’Ecole Polytechnique fédé-
rale de Zurich, Edition Leemann, Zurich 1952.
Hagen, T. et Rutishauser, H.: “Ueber die Deformation virtueller Raum-
modelle in einfachen Stereogeräten”.
Communications de l’Institut de géodésie de l’Ecole Polytechnique fédérale de
Zurich, 1952.
Ces publications de Hagen sont des contributions aux méthodes d’interpré-
tation et donnent des exemples de restitution géologique et géographique. Elles
traitent des déformations de l’image, de l’examen stéréoscopique, des déforma-
tions des modèles virtuels etc.
“Flugbild der Schweiz”. 200 vues aériennes de la Swissair. En majorité vues
obliques. Textes accompagnateurs de Emil Egli, Peter Meyer, Walter Robert
Corti, et Eduard Imhof. Mühlrad-Verlag, Zurich 1949.
E. Quelques autres remarques sur l'interprétation de vues aériennes.
On peut recommander les exercices suivants:
Comparer les photos obliques et verticales correspondantes;
comparer l'image monoculaire à celle à effet stéréoscopique;
comparer l'image verticale à de bons plans ou des cartes à échelle analogue.
Un bon sens d'observation, la capacité de voir les choses plastiquement et
surtout des connaissances approfondies dans le sens du but à interpréter nous
semblent plus importantes que l'examen d'images comparatives commentées.
Seul le géologue peut interpréter une photo géologiquement. Seul l'agronome
peut tirer des conclusions agronomiques et le spécialiste militaire extraire des
faits militairement importants de l'examen d'une image.
L'interprétation photographique aérienne n'est pas une branche en soi de
la science et de la technique photogrammétrique, mais, comme la lecture de ia
carte et la lecture de n'importe quelle autre représentation du paysage, une aide
pour tous ceux qui, d'une maniére ou de l'autre, doivent s'occuper des formes de
la surface du globe. C'est dans ce sens que la photo aérienne doit être propagée,
sans vouloir en faire une technique on une science propre. On ne peut que don-
ner quelques indications sur la manière d’exercer cette lecture de photos, de pren-
dre en main les vues et de faire apparaître l’effet stéréoscopique. Les déforma-
tions du modèle n’ont en général pas grande influence sur la lecture.
La tâche de la photogrammétrie, de ses instruments et de la technique pho-
tographique est donc surtout de livrer de bonnes images à l'interprétation. C'est
f. i
ainsi que pour répondre à quelques points du questionnaire, le rapporteur com-
munique quelquesunes de ses opinions et expériences: