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méthode des déformations dues à la hauteur et par la méthode des ombres, des
mesures de vitesse des bateaux et de profondeur des fonds marins.
d) pour la partie relative aux éléments de la technique photographique:
décrire les surfaces sensibles de diverses sortes, les procédés de développement et
de tirage, l’emploi des appareils spéciaux pour la reproduction et le tirage des
négatifs, les principaux types de chambres de photographie aérienne, etc...
La base pratique de la méthode doit, d’autre part, apprendre aux officiers
à synthétiser des relations et à tirer des conclusions des observations analytiques
recueillies en interprétant individuellement les photographies et à préparer des
graphiques clairement ordonnés. Beaucoup d’exercices en campagne doivent être
également organisés, à la double fin de comparer au terrain les renseignements
et les données tirés du simple examen des photos et de visiter très largement des
installations de l’industrie, de la marine, des réseaux de chemins de fer, toutes
organisation dont la connaissance est essentielle au photo-interprétateur.
En définitive, les photo-interprétateurs doivent être entraînés à établir les
différents types de documents photographiques et à préparer des programmes
intelligents pour les missions photographiques.
La préparation des documents photographiques.
Les principaux types de documents qui peuvent être demandés sont les suivants:
a) copie de photographies isolées ou stéréoscopiques: à faire à grande échelle
avec certains détails présentant un intérêt topographique ou militaire particu-
lier, que l’on désire étudier séparément:
b) séries ou bandes de photos verticales: à prendre toujours avec un recou-
vrement de 60% pour permettre l’examen stéréoscopique; à redresser au cas où
l’utilisateur en aurait besoin pour certaines applications topographiques;
c) mosaïques: à utiliser montées ou non montées. Dans le premier cas, si
l’on doit employer la mosaïque à la place d’une carte topographique, on doit la
redresser afin de pouvoir faire des mesures et de pouvoir imprimer un carroyage
kilométrique, quelques indications concernant la “toponymie” et toutes les in-
dications portées dans la marge et relatives au terrain représenté et à la méthode
utilisée pour le redressement (carte topographique de référence, coordonnées
topographiques de référence, graphique d'assemblage, échelle, etc....); si on doit
l’utiliser pour donner aux quartiers généraux une vue claire de l’ensemble de la
situation de l’ennemi et de la leur propre dans un secteur déterminé, la mosaïque
peut ne pas être redressée et au moyen de symboles conventionnels prévus à
l’avance, on mettra en évidence tous les détails d’ordre militaire qui présentent
de l’intérêt. Dans le second cas, la mosaïque est constituée par la réunion pure
et simple des photographies classées dans un ordre de progression et divisées en
séries placées dans des enveloppes ou des boîtes. Les quartiers généraux ou les
armes monteront, selon chaque cas d’espèce, tout ou partie de la mosaïque, en
amenant en coïncidence au moyen d’épingles les détails communs aux diverses
photographies. Ce type de mosaïque a l’avantage d’offrir à l’observateur une
vision d’ensemble et en même temps de permettre une division élémentaire ren-
dant possible l’observation stéréoscopique de détails qui sont du plus grand
intérêt.
Pour indiquer les détails naturels ou artificiels de photos séparées, nous
pensons qu'il est utile d’employer des grilles conventionnelles imprimées sur
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