r des surfaces-échantillons
e densité uniforme.
lages des arbres contenus
itinue le travail en mesu-
rte par chaque arbre), et
façon à établir le rapport
ent de réduction F» et le
toute la zone considérée
le volume de bois de la
la surface totale et cette
| avons trouvé les erreurs
par rapport aux résultats
ernant les rapports entre
liminer au maximum les
ndre quelques clichés in-
sent individuellement du
imensions par restitution
stématique sera suivie de
treprises intéressées à ce
x appropriés et entraîner
luit par rapport aux prix
ETERMINATION
IRES D’OBUS ET
CLASSIQUES.
) a mis au point un nou-
: classique, constitué d'un
modèle B. Il faut recher-
'aux années précédant la
appareils O.M.L, et rap-
ure des parallaxes par la
ipe de base original dont
onsidére cette conception
ies du comparateur liné-
otothéodolites, à champs
(541)
asymétriques, qui permettent une trés bonne exploitation du champ de vision
stéréoscopique, si on les compare avec les autres chambres ayant le méme for-
mat de plaque.
En ce qui concerne l'extension du champ, on a pu ainsi poser et résoudre
le probléme de l'enregistrement d'une trajectoire complétement contenue dans
le champ de vision stéréoscopique dans les conditions normales de la prise de
vues terrestre, et dans des limites de précision préalablement fixées.
En se plaçant dans ces conditions, l'auteur exprime les erreurs qu'on peut
commettre sur les coordonnées de chaque point de la trajectoire, par suite des
erreurs pouvant affecter les paramètres mêmes du problème. L’étude analytique
conduit par des considérations différentielles à un critère pratique de la lon-
gueur de base à choisir, et de la position à attribuer à l'origine de la trajectoire
d’après sa longueur et les tolérances de précision fixées.
STEREOPHOTOGRAMMETRIE ET ETUDES DE MOUVEMENTS
par
le Professeur Max Zeller, Zürich, Swiss.
Les mouvements manuels de certains travaux ont été étudiés depuis bien
des années déjà par voie cinématographique ou d’après la méthode des points
lumineux. Le chemin fait par des petites lampes fixées au corps et spécialement
aux mains de la personne observée est enregistré photographiquement dans
cette dernière méthode. Les deux procédés donnent une image claire et com-
préhensive des mouvements exécutés, mais ils ne permettent pas la mesure
exacte de leur forme ni de leur variation. La connaissance exacte des courbes
spatiales des mouvements et surtout de leur variation est cependant nécessaire
pour l’étude d’économie de différents procédés de travail. Ce n’est que la com-
paraison exacte de la longueur et forme des courbes de mouvement dans diffé-
rentes dispositions de travail qui permet le choix du procédé le plus économique.
A l’Tinstitut de l’Organisation Industrielle à l’Ecole Polytechnique Fédérale
de Zurich, des études ont été faites à l'aide de la stéréophotogrammétrie. Afin
de pouvoir juger les mouvements totaux, les deux mains, la tête et les épaules
de la personne observée furent pourvues de petites lampes à incandescence.
La chambre stéréométrique WILD à base de 40 cm fut employée pour cette
étude. Elle donne une précision de la restitution à l’echelle 1 : 2 d’environ 1 mm
pour des distances jusqu’à 4 mètres.
Dans les études de mouvements il est nécessaire de choisir des signes lumi-
neux différents pour chaque phase de travail. Ceci se fait à l’aide d’un interrup-
teur automatique à intervalles réglables. Il est important de procéder ainsi afin
de pouvoir identifier nettement les mouvements correspondants dans les zônes
où plusieurs courbes se croisent.
Les premières expériences ont en outre démontré qu'il est recommendable
de ne photographier que 3 ou 4 répétitions d’une phase de travail sur un seul
couple de clichés. Dans le cas de 24 répétitions d’une phase on photographiera
p. ex. les 4 premières sur un couple de clichés, de même les répétitions no. 11 à
14 puis 21 à 24, chacune sur un couple différent. Quant aux répétitions no. 5 à