Full text: Executive & formal meetings, resolutions etc. (Part 1)

DELEGATES MEETINGS 
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grammétrie en 1964 en Suisse. Nous avons au cours des deux ou trois dernières 
semaines parlé en peu à tous les intéressés, avec les milieux officiels et les milieux 
privés, et nous sommes arrivés au résultat que ce serait, croyons-nous, une solution 
avantageuse pour tous si le Congrès de 1964 pouvait se tenir en Suisse. La Photo- 
grammétrie jouit en Suisse, vous le savez, d’une application très poussée, et nous 
avons en conséquent aussi les personnes compétentes pour connaître les besoins des 
photogrammètres et d’organiser un congrès. Nous ne faison pas seulement des con 
grès en Suisse - nous travaillons aussi, mais nous avons toujours plaisir en Suisse à 
recevoir le monde international. En 1964 l’Exposition Nationale se tiendra à Lausan 
ne, une exposition qui est organisée seulement tous les 25 ans, et nous pensons 
qu’elle sers également une manifestation de la vie technique, politique, économique 
et folklorique de notre pays et serait aussi un point attrayant pour les photogram 
mètres si l’on choisissait Lausanne comme lieu du Congrès. A Lausanne nous aurons 
à notre disposition un palais, le Palais de Beaulieu, destiné au Comptoir Suisse qui 
se tient toutes les années - en 1964 il ne se tiendra pas parce qu’il y a l’Exposition 
Nationale, et le Palais serait à la disposition de notre Congrès. Il y a là des salles 
pour réunions et les installations pour une exposition industrielle; - il y a des salles 
pour de grandes séances de 1500 participants, des salles de cinéma, des salles pour 
des commissions, et pour les congressistes il y a aussi un très bon restaurant dans ce 
palais d’expositions, de sorte que la vie du Congrès pourrait se dérouler dans un seul 
bâtiment. Vous savez que Lausanne, avec la région du Lac Léman, est un centre 
touristique, et que le logement des congressistes ne ferait aucune difficulté. En plus, 
je crois que ce pays charmant offrirait quelques aspects très avantageux pour le 
monde international. Nous avons aussi étudié la question financière; nous nous 
rendons compte qu’un congrès scientifique d’aujourd’hui ne peut pas vivre seulement 
des participations financières des congressistes, qu’il faut aussi des sacrifices de la 
communauté, et nous avons trouvé - et le résultat est que cette question ne soulèvera 
pas de difficultés. 
Notre Président, le Général Brown, vous a parlé ce matin de certains dévelop 
pements dans notre Société Internationale de Photogrammétrie et sur l’organisation 
de la vie et de la législation de notre Société, et Professor Schermerhorn nous a aussi 
expliqué qu’il ne s’agit pas seulement pour nous de développer la photogrammétrie, 
mais aussi de favoriser la coopération dans le monde. Nous connaissons ce problème 
en Suisse, nous avons ces mêmes idées et croyons que nos photogrammètres en Suisse 
pourront faire un travail utile dans le sens indiqué ce matin. 11 s’agirait d’organiser 
un bureau exécutif qui travaillerait pour le bien de notre Société, pour le dévelop 
pement de la photogrammétrie, et pour la collaboration internationale entre les hom 
mes, et surtout pour plus de bien-être, notamment dans les pays en voie de dévelop 
pement. Messieurs, nous connaissons les responsabilités; vos collègues suisses 
connaissent les reponsabilités découlant d’une invitation par un pays d’organiser le 
Congrès International, et parce qu’ils connaissent ces responsabilités c’est avec l’appui 
de leur gouvernement que vos collègues suisses vous invitent. 
Monsieur Broillet: Je voudrais vous orienter concernant le résultat des dis 
cussions qui ont eu lieu dans le cadre de la Société Suisse de Photogrammétrie sur 
les questions personnelles de la conduite et de l’administration de la Société Inter 
national de Photogrammétrie. Si le Congrès venait en Suisse, et si cela comportait la 
conduite de la Société Internationale pendant les quatre années précédant le Con 
grès, nous proposerions d’accepter comme président de la Société Internationale, 
Monsieur Hàrry. Quant au secrétaire, nous en avons discuté dans notre Société 
nationale, et nous avons prévu Monsieur Weissmann, un entrepreneur privé, qui a 
comme appui personnel les facilités de son bureau qui est doté d’environ une quaran
	        
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