Full text: General reports (Part 2)

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4. La méthode graphique d'orientation relative à partir des mesures de parallaxes transver- 
sales, est appliquée en FRANCE (Fr. 1,2) aux appareils Poivilliers. 
Elle est employée exceptionnellement en BELGIQUE et au LIBAN pour les mémes appareils. 
De plus, elle est utilisée en BELGIQUE (B. 1) pour les restitutions en terrains trés accidentés aux 
appareils Wild A5 et Santoni IV. 
Une méthode semi-graphique, basée sur la mesure des parallaxes y est utilisee en EGYPTE 
pour l'orientation relative au Multiplex (YASSA). 
Il. — ORIENTATION ABSOLUE. 
|. En BELGIQUE (B.4) l’orientation absolue est effectuée aux appareils Wild A6 et A8, 
à l’aide de nomogrammes. 
La mise à l'échelle graphique est appliquée aux appareils Wild A5, A6 et Santoni IV (B. 1); le 
basculement (orientement des verticales) est effectué par calcul des angles de calage. 
Au Poivilliers B (B. 1), la mise à l’échelle se fait graphiquement et le basculement se fait 
par le calcul des déplacements de l’index. 
2. En FRANCE (Fr. 1, 2), avec les appareils Poivilliers B (et C), la mise à l'échelle est cal- 
culée pour le premier couple d'une bande; pour les couples suivants, elle est effectuée en chemine- 
ment par égalisation des z au nadir commun. Le basculement est fait par une méthode graphique. 
Aux appareils Poivilliers D (Fr. 1), la mise à l'échelle et le basculement sont exécutés par des 
graphiques. 
procédés g 
3. En IRAN, l'orientation absolue au Multiplex est obtenue en appliquant une sorte de triangu- 
lation aérienne, ce qui laisse supposer que l'orientation absolue est effectuée simultanément pour 
plusieurs couples successifs. 
Ill. — DIVERS. 
|. Pour le Zeiss-Stereotop, B. 4 signale la mise en place des clichés suivant la méthode préco- 
nisée par ACKERMANN, dans Photogrammetria XV -2. 
2. En ce qui concerne le redressement, les mises en place se font généralement d’après 4, 6 ou 
9 points connus en coordonnées ou encore d’après des données extraites d'une carte existante. 
Occasionnellement, Al.6 effectue les redressements d’après des données numériques et Al. 13 
par zones. 
En BELGIQUE (B.1,4), les mises en place sont effectuées au moyen de gabarits transpa- 
rents sur lesquels sont reportés les repères du cliché original et la position des points connus; le 
négatif est ensuite substitué au gabarit pour la reproduction. 
En HOLLANDE (H. 3), le redressement se fait, suivant le relief du terrain, avec ou sans le 
dispositif automatique de placement du point de fuite (avec le Zeiss SEG V). 
En IRAN, on utilise une méthode systématique « affine » (voir Chapitre VII). 
En YOUGOSLAVIE, on emploie les méthodes BRAUM ou ZELLER. 
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