l'établissement de la carte au 50 000e. À cette échelle, la carte n'existe pas pour 60% du territoire canadien.
Les régions pour lesquelles la carte fait défaut comprennent la presque totalité des Îles de l’Artique et de très
grandes étendues à l'est et à l'ouest de la Baie d'Hudson. Aucune de ces régions n'est habitée; à quelques
exceptions prés, elles sont recouvertes de neige plus de 200 jours par an et elles sont toutes d'un accés
difficile.
Pour le Canada, l'utilisation de méthodes modernes de compensation de bloc aura les résultats suivants:
: dans le Nord et, en particulier, dans les Îles de l’Artique, le controle horizontal existant qui a été établi
pour la carte au 250 000e sera souvent suffisant;
- les points de contróle établis par la méthode aérodiste avec une densité d'environ un point tous les 10
000 km’ seront également suffisant;
: la précision des résultats de l'aérotriangulation sera supérieur à celle obtenue par l'ajustement de bandes
à l'aide de polynómes.
15. Gopalan, N.
Inde
LES MÉTHODES ANALYTIQUES DE COMPENSATION DE BANDES
Le vrai probléme en ce qui concerne la compensation de bandes, à l'aide de méthodes d'interpolation
numériques, est le choix de formules appropriées qui conviennent le mieux à la solution d'un probléme de
cartographie donné.
On essaie, dans cette communication, de comparer les résultats de la compensation de quelques bandes, fondées
sur différentes transformations, linéaires, conformes du second degré, polynóme général du second degré, en
vue de choisir la méthode la plus convenable. On se sert d'un nombre de points de contróle surabondant et on
applique la méthode des moindres carrés. Les transformationts on également été réalisées en utilisant le
nombre de points de contróle minimum et en vérifiant les résultats avec les points surabondants. Les
programmes d'ordinateur ont été développés pour le système HONEYWELL 400.
Quand tous les points de contróle sont utilisés, l'analyse des résultats démontre que la compensation
planimétrique, obtenue par une transformation linéaire, suivie d'une transformation générale du second degré,
donne les meilleurs résultats. Elle répond trés bien aux exigences de précision des échelles topographiques
moyennes.
De facon générale, les résultats de la compensation altimétrique à l'aide de polynómes généraux du second
degré semblent correspondre à ceux obtenus par les méthodes semi-analytiques répondent ainsi aux exigences
de la précision tout en épargnant les besoins en points de contróle.
16. Hadem, I.
Norway
L’INFLUENCE DES DIFFERENCES DE HAUTEUR SUR LA PRECISION
DE L’AEROTRIANGULATION
L'article s'agit de quelques examens théoriques de l'influence des différences d'hauteur sur la justesse de la
triangulation aérienne. On a surtout souligné l'influence d'erreurs dans l'orientation intérieure.
Les examens se basent sur des suppositions mathématiques habituellement appliquées dans la pratique de la
triangulation analytique en cas ou les coordonnées des points du terrain sont estimés par une compensation
rigoureuse des bottes rayonnées.
En supposant ensuite des valeurs numériques de la justesse de l'orientation intérieure et puis des observations
fondamentales on a donné des exemples numériques a dessin de faire montrer l'influence des différences
d'hauteur sur la justesse de cheminements analytiques de trois images. On a supposé des différentes formations
de terrain théoriques.
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