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ABSTRACT 
The paper stresses that the opportunities for photo-interpretation in urban areas 
will vary, for both technical and economic reasons, whether the technique is applied in 
industrialised countries or in other parts of the world. 
While research has adequately demonstrated the capability of aerial photographs 
in providing interesting data on urban areas, their use has not yet achieved its full 
potential. As there is no suitable channel of publication, the actual situation is difficult 
to assess, but the main impression is that while photography is extensively used in a 
simplistic way for ad hoc application, there are few examples of systematic operational 
use in the urban planning and information field. More study is therefore needed of the 
methodological aspects and operational procedures, and less of glamorous new 
experiments. 
Current teaching and research in the ITC Urban Survey Department 
as described in this paper, concentrate fully on operational practice and cover 3 main 
fields: (a) urban population data, (b) urban land use data, and (c) the integration of 
photo-derived data in general urban information systems. 
Future developments in imagery, interpretation "software" and hardware", and 
in education, will contribute to a more widespread use of photography in those urban 
areas where the administrative structure is not able to supply the necessary updating- 
input to maintain a sophisticated data base. In other areas, where data banks are fully 
operational, the use of photography will be more specialised and complementary. 
L'article insiste sur le fait que les possibilités de photo-interprétation des zones 
urbaines varient, tant pour des raisons économiques que techniques, selon qu'elles sont 
appliquées dans des régions industrialisées ou non. Bien que les travaux de recherche 
aient parfaitement démontré la qualité des photos aériennes en ce qui concerne la pro- 
duction de données intéressantes sur les zones urbaines, leur utilisation n'a cependant 
pas atteint le stade exhaustif. Comme il n'y a pas de moyen de publication approprié, il 
est difficile d'évaluer la situation réelle, mais l'on acquiert l'impression que, alors que la 
photographie est largement utilisée suivant un procédé rudimentaire pour une application 
“ad hoc”, il y a peu d'exemples d'utilisation opérationnelle systématique dans la plani- 
fication urbaine et le domaine de l'information. Une étude plus approfondie des aspects 
méthodologiques et des procédés opérationnels est donc nécessaire, plutót que de 
nouvelles expériences prestigeuses. 
L'enseignement et la recherche courants dans le département Urban Survey 
de l’ITC tels que décrits dans cet article, sont concentrés sur la pratique opérationnelle 
et couvrent trois domaines: (a) données de population urbaine, (b) données de 
l’utilisation des terrains urbains et (c) l’intégration des données provenant des photo- 
graphies dans les systèmes d’information générale urbaine. 
Les améliorations prévues en images, software" et “hardware” pour l'interprétation 
ainsi que dans l’enseignement, contribueront à une utilisation plus répandue de la 
photographie dans ces zones urbaines dont la structure administrative ne pourra fournir 
le rendement nécessaire et à jour afin de maintenir une base complexe de données. Dans 
d’autres zones dont les banques de données sont complètement opérationnelles, 
l’utilisation de la photographie sera plus spécialisée et complémentaire. 
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