Full text: Commissions I and II (Part 4)

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nement JO d’un plan horizontal de référence, 
celui qui se trouve le plus bas dans le terrain et 
par l’échelle des objets dans ce plan — mais les 
verticales du terrain deviennent des droites qui 
convergent vers un point de fuite, et l’échelle 
n’est pas la même le long de ces verticales que 
dans le plan horizontal de référence. Il y a un 
étirement vertical qui n'est d'ailleurs pas régu- 
lier, qui est progressif ou dégressif. Quand on 
déplace le stéréoscope latéralement sur le sté- 
réogramme pour explorer toute la surface utile 
du couple, le point de fuite des verticales se 
déplace également latéralement. Les verticales 
se couchent en accompagnant le stéréoscope. 
Le coefficient d’étirement vertical dont je viens 
de parler varie avec la distance AO. Il diminue 
lorsque AO diminue. Il existe une distance AO 
donnant un coefficient d’étirement vertical local 
égal à 1, mais dans la plupart des cas de la pra- 
tique en photographie aérienne, A'O est infé- 
rieur à la distance minimum de vision distincte. 
En fait, l'expérience montre que la reconsti- 
tution spatiale réelle est une opération mentale 
de caractére subjectif — dans un stéréoscope on 
peut faire varier dans de larges limites la con- 
vergence des lignes de fixation sans modifier la 
reconstitution spatiale. Les observateurs font un 
choix plus ou moins inconscient de la distance 
l'O — ils ont tendance à la choisir trés faible aux 
environs de la distance minimum de vision dis- 
tincte, ce qui diminue le coefficient d'étirement 
vertical. Dans la plupart des cas dans la pratique 
I'étirement vertical reste dans des limites ad- 
missibles et n'est pas choquant — il atteint 21. 
C'est la distance focale de la chambre de prise 
de vue et son format — en supposant que le re- 
couvrement soit toujours le méme, par exemple 
de 55 à 6096 — c'est la distance focale de la 
chambre de prise de vue et son format qui fixent 
le coefficient d'étirement vertical. Celui-ci est 
accru par l'emploi des chambres grand angu- 
laires. Dans le cas des anaglyphes AO est voisin 
de la distance à laquelle on observe le docu- 
ment. Dans le cas des projections en relief sur 
un écran /l'O se trouve sensiblement matérialisé 
par la distance de l'écran qui est de quelques 
metres. Ainsi s'explique l'impression d'étirement 
Vertical exagéré que l'on éprouve dans ce genre 
de projection. 
Dans la pratique de la photographie aérienne 
On s'écarte malheureusement plus ou moins de 
l'hypothése du stéréogramme normal. Les axes 
de prise de vue ne sont pas exactement paral- 
lèles ni perpendiculaires à la base. Lorsqu'on 
assemble alors dans un méme plan les deux pho- 
tographies d'un tel couple pour l'observer dans 
Un stéréoscope l'introduction des parallaxes 
QUELQUES QUESTIONS D'OPTIQUE PHYSIOLOGIQUE, DISCUSSION 
transversales qui interviennent à ce moment-là 
est une géne pour le fusionnement stéréoscopi- 
que. Ce fusionnement peut devenir impossible 
en dehors du centre même du couple — devient 
très difficile sur les bords. L'introduction de 
parallaxes longitudinales, elle, entraîne par ail- 
leurs les déformations des plans horizontaux qui 
sont bien connus de tous les photogrammétres. 
L'expérience montre que ces déformations sont 
trés graves pour l'interprétation. Dans de nom- 
breux cas l'observateur lutte pour s'en affranchir 
lorsqu'il sait qu'elles ne correspondent pas à la 
réalité. De nombreuses autres causes de difficul- 
tés de fusionnement et de déformation du relief 
interviennent. Citons: le glacage des épreuves 
sur papier, l'insuffisance de précautions dans la 
planéité des photographies assemblées, la dis- 
tension des oculaires du stéréoscope, l'emploi 
d'obturateurs focaux à fentes mobiles auxquels 
il convient de renoncer. 
Les principales conclusions à tirer sont: Pre- 
mièrement, on doit assurer une verticalité très 
approchée de l’axe de la chambre de prise de 
vue, les tolérances sont d’autant plus faibles que 
l’angle de champ est plus grand. Pour un demi 
champ de 90° la tolérance est de l’ordre de 1°. 
Elles sont beaucoup plus faibles pour les très 
grands champs angulaires actuellement envisa- 
gés; Deuxièmement, on doit prendre toujours 
d'extrémes précautions pour assembler un sté- 
réogramme. Troisiémement, les usagers doivent 
étre trés circonspects dans toute tentative de des- 
siner à vue des courbes de niveau pour repré- 
senter les formes du terrain. Les simples mesures 
de différences de relief effectuées avec les ba- 
ses de parallaxes ne peuvent donner des indi- 
cations acceptables que si l'on compare des 
points extrémement voisins. Dans l'interpréta- 
tion en résumé il convient en matiére de relief 
du sol de se contenter d'une compréhension 
générale des formes relatives et d'appréciation 
différentielle. 
Mr P. O. FAGERHOLM: Due to the time limi- 
tation I am going directly to the main point 
which I should like to emphasise, and that is 
the need for really good stereo acuity testing 
methods. It has already been tested here, visual 
space for interpretation, visual space problems 
for photo interpreting and stereo acuity pro- 
blems for stereo plotting and in the map-making 
phases of photogrammetry. I think the stereo 
acuity is the dominant problem from the physio- 
logical optical point of view. In my paper, which 
is available — but I do not think many of you 
have had time to read it during this very busy 
Congress — I have presented to you some tests 
wa — 
     
  
  
  
    
    
   
   
    
    
     
     
     
   
    
   
  
  
    
   
  
  
   
  
  
   
  
  
  
  
   
   
   
    
    
   
  
  
   
  
   
  
   
   
    
    
    
    
   
   
   
     
    
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