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même sens que © , z restant inchangé ; l'anamorphose se couche en accompagnant le
stéréoscope.Dans la position initiale, la verticale de l'axe de symétrie restait seule verti-
cale dans l'image; après translation c'est une autre verticale du terrain( celle dont l'image
est la verticale de()) qui, précédemment oblique, s'est redressée pour paraître verticale;
mais elle ne correspond plus à l'axe de symétrie du stéréoscope ( donc au centre du champ).
Quand on fait varier la mise au point du stéréoscope, A, varie (de l'infini jusqu'à
la distance minimum de vision distincte) ; z varie également ; l'image se comprime
lorsque À, est faible et se dilate pour aller jusqu'à l'infini quand À, devient infinie.
Nous avons donné dans notre Ouvrage de nombreux exemples graphiques et numé-
riques d'anamorphoses géométriques dans divers cas correspondant aux stéréogrammes
courants ; ces exemples se rapportent tant aux examens sous Stéréoscope qu'aux anagly=
phes et aux projections en relief sur écran. Un parallélépipède donne par anamorphose un
tronc de pyramide. Des plans du terrain horizontaux et équidistants deviennent des plans
horizontaux à équidistance décroissante. Dans ces exemples, A, varie de l'infini à 0m20,
Mais nous avons attiré l'attention sur la façon d'interpréter ces résultats ; une
anamorphose n'a en effet de signification que pour une position donnée des deux yeux ; c'est
sa perspective vue de ces deux yeux qui est seule à considérer ; il faut bien se garder des
erreurs de raisonnement,
En particulier examinons le cas trés important oü nous comparons sur l'axe du champ
deux solides différents, dont toutes les dimensions sont homothétiques dans le rapport K,
le plus petit étant placé K fois plus prés des yeux de l'observateur. Dans les deux cas, les
écarts angulaires de détails homologues situés dans les plans de front, au voisinage de
l'axe, seront les mêmes. Mais dans l'examen du modèle réduit les parallaxes stéréoscopi-
ques seront K fois plus grandes ; le relief du modèle réduit sera perçu avec une acuité
multipliée par K. Cette remarque est capitale pour la discussion ultérieure des déforma-
tions du relief, car le modèle réduit K fois homothétiquement n'avait subi aucune défor-
mation relative.
Nous sommes ainsi conduits à définir dans le cas général un coefficient d'étirement
Z
des anamorphoses. Il y aura étirement ou aplatissement relatif si l'échelle pA de l'ana-
morphose dans le sens vertical est différente de l'échelle dans le sens horizontal ; si la
deuxième échelle est plus grande il y aura aplatissement : si elle est égale il y aura ho-
mothétie (locale). Comme / est différent de /, on aura deux facons d'exprimer le coef-
ficient d'étirement c, et c,
2 IL l
C : C, zm Harz
: Zo. nl I,
Z étant supposé représenter le relief maximum dans la zone commune, c, est le coeffi-
cient d'étirement rapporté à la partie basse de l'anamorphose c, celui rapporté à la partie
haute. Si Z représente le relief pour un point donné du terrain, c, sera le coefficient
d'étirement local. Dans tous les cas, il est indiqué de prendre comme argument la distan-
ce À, étant donné le rôle important qu'elle a dans la reconstitution spatiale.
t2
N
On peut calculer facilement les valeurs A, et Al que devrait prendre A, (1)
pour obtenir respectivement:
C, I ( pour A) ¢, = I(pour A),
|
On trouve : Z
| ; A " fi
A m. a =I 2
/ b, } 2 b (2)
9 A
\
o
(1) La différence entre A, et A; tient à ce que dans l'anamorphose l'échelle latérale
diminue quand Z augmente .
Z * " : 1
(2) Si ona d / =2 onaura A = 3 A
o. ?