m, but anyone who has had
ind of approach will share
o how we interpret micro-
ig lines. The question of
ns an extremely complex
jou do it do you realise how
the act of vision, of looking
nd saying whether it is re-
me mysterious way the eye
e to know that the grain is
te it out, whereas the objec-
ter approach records all the
the lines so long that the
ut one is not quite sure what
very different from looking
in an image. Therefore, I
all novices in this field.
1ce, of course, would be to
ontrast test objects. At least
imber of variables we have
owever, Mr. Cruset has in-
ıld not like this for several
oint I mentioned earlier on
of very high contrast. He
rly North Africa in his own
- reason is that there are a
tests in existence. It is not
em in addition to low con-
have two points on a curve
s probably better than one.
on I cannot help referring
1an’s work on the contrast
distinct from details seen
, speaking from memory, is
t on the average. This again
a very strong argument for
low contrast test object, but
hings we will have to argue
jittee.
sure that I agree with Dr
that all is well. I think this
ult situation and we must
possibilities continually. At
ussions we are approaching
a fuller understanding of
f testing photogrammetric
| the main thing.
r me to stop.
was continued in the next
35
FIRST MEETING HELD ON THURSDAY, 8th SEPTEMBER, 1960
In the Chair: Mr J. CRUSET, President
Introduction by the Chairman
Voici la deuxième session de la Commis-
sion I.
Il a été question ce matin à la fin de la
réunion de Commission IV du róle de la Com-
mission I. Notre róle est avant tout de fournir
aux photogrammétres des renseignements sur
les optiques, les chambres de prises de vue, le
technique de laboratoire, les propriétés des sur-
faces sensibles et de leurs supports. On a pres-
que l'air de la découvrir aujourd'hui mais c'a
toujours été le róle de cette Commission. Les
photogrammétres s'intéressent, avec raison, au
résultat final en ce qui concerne le róle de notre
Commission — c'est une photographie prise en
avion, contenant le maximum d'information
possible et permettant les mesures les plus pré-
cises possibles. Je crois malgré tout qu'il est
bon, sans que chacun entre nous soit forcément
des physiciens, de savoir tout le méme oü en
sont les physiciens, méme si leurs méthodes
sont encore en déliberation et ne sont pas im-
médiatement applicable à nos problémes. A la
fin de cette session de la Commission IV, M.
Härry a dit, en allemand — langue que je m'ex-
cuse de comprendre assez mal, — ,,Personne n’a
plus de questions à poser? — Non — je lève la
séance.”
Ça me permet de reprendre la parôle, si
j'avais le bel droit à ce moment-là, pour faire
deux remarques qui, du point de vue de la Com-
mission I, me semble s'imposer. On parle tou-
jours et depuis des années de la stabilité dimen-
sionelle des supports sur lesquelles sont déposé
les émissions. Il est essentiel de prendre en con-
sidération la forme géométrique de ce support
et les variations qu'il peut avoir dans le temps.
Premier point.
Deuxiéme point — aussi concerne la couver-
ture photographique et cette querelle entre la
photo verticale et la photo oblique — conver-
gente plutót. Il faut bien voir que dans la prati-
que la couverture aérienne est non seulement
comme l'a dit avec raison le Professeur Scher-
merhorn l'un des cháinons qui ménent a l'édifi-
cation de la carte, mais c'est aussi le fin en
elle-même. Il y a des clients, des photo-inter-
prétateurs, qui s'intéressent à la photo aérienne.
C'est pour une firme servant bien à l'LG.N.,
que cela représente une partie importante de
nos ressources, pour tout dire, notre activité de
nos sources. Par conséquence ce probléme dans
la pratique n'est pas à perte de vue.
C'est tout ce que j'avais à vous faire comme
annoncement particulier et je passe la parole
au Professeur Schwidefsky. Pour nous gagner
du temps, le Professeur Schwidefsky traitera ses
deux communications une à la suite de l'autre,
comme prévu sur mon programme détaillé, et
ensuite, avant que la paróle soit donnée au
Docteur Meier, le Professeur Schwidefsky dira
son opinion sur la conférence de Mr Brock.
Presentation of Papers by Prof Schwidefsky and Dr Meier
Continuation of the Discussion on Mr Brock's Paper
Herr Professor ScHwipgrskv: Herr Práüsi-
dent, meine Damen und Herren. Es ist bemer-
kenswert, dass wir Photogrammeter sehr wenig
wissen im allgemeinen über eine fundamentale
Voraussetzung guter Luftbilder, nàmlich über
die Beleuchtung des Geländes. Ich habe ver-
sucht, hier einen Überblick über die physika-
lisch optischen Verhältnisse in der Atmosphäre
zu geben, soweit sie den Luftbildphotographen
interessieren. Die volle Arbeit ist abgedruckt in
„Bildmessung und Luftbildwesen”, und Sie fin-
den sie in den Veröffentlichungen des Kongres-
ses. Ich kann mich also darauf beschränken und
muss mich darauf beschränken in den wenigen
Minuten, einen Punkt hervorzuheben: die Frage
der Luftaufnahmen bei bedecktem Himmel. Sie
wissen, es ist gute Tradition, dass Luftbildauf-
nahmen nur dann gemacht werden, wenn der
Bewölkungsgrad des Himmels kleiner ist als etwa
ein Achtel. Die Folge davon ist, dass zB in
Deutschland im Durchschnitt nur 21 Tage wäh-
rend eines Jahres diese Bedingung erfüllen, dass
der Bewölkungsgrad kleiner als ein Achtel ist,
und diese also für Bildflüge geeignet sind. Wir
stellen also die Frage, wie ist die Geländebe-
leuchtung dann, wenn der Himmel bewölkt ist.