Full text: Commissions III and IV (Part 5)

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OEEPE, COMMISSION A, PRESENTATION OF THE REPORT 35 
not give sufficiently reliable results. The studies made on the “couples témoins” per- 
suaded the Commission that a deeper, fundamental research is required. The Commission 
F has been charged with it. — The computation of the intrinsic accidental errors of trian- 
gulation has been executed by comparing the results of the two passages which have 
always been followed in each strip according to a procedure suggested by Van der Weele. 
We now give only a few tabulations of the results we obtained; they show a good uni- 
formity of the figures to allow the computation of the mean square value of the intrinsic 
accidental errors with a sufficient approximation. Anyway, all the above mentioned cal- 
culations will have to be improved since they have been carried out with the supposition, 
not always correct, that the base length is uniform. Mr. Van der Weele has already sug- 
gested the procedure which should be followed in order to take into account the real 
base length. A more careful research on the casual errors is also possible, but it should 
be carried out on copious material and committed to a Centre which will take care of it. 
Presentation of the Report 
Professeur C. TRoMBETTI: Monsieur le Pré- 
sident, Mesdames, Messieurs, dans la période de 
1956 à 1959 onze centres européens ont effec- 
tué pour la Commission I de l'OEEPE 111 
enchainements au total en utilisant des bandes 
longues 90 jusqu'à 5 kms comprenant de 40 à 
50 photogrammes chacune. Ces bandes furent 
mentionnées au précédent Congrés à Stock- 
holm. Les enchainements d'une bande ont été 
en régle générale répétées deux fois aux instru- 
ments restituteurs, une première fois avec 
départ à base intérieure et une seconde fois 
avec départ à base extérieure. Les méthodes 
d'enchainement ont été de préférence: bz = 0, 
le statoscopique et le solaire. La Commission a 
préparé un rapport où sont reportés les résultats 
qualitatifs obtenus — il est en cours de publica- 
tion. Ensuite on confia à des centres des études 
particulières sur des problèmes spécifiques. 
L'étude des méthodes d'enchainement a été ef- 
fectuée avec les coordonnées résultant de l'en- 
chainement méme. Les coordonnées instrumen- 
tales étaient d'abord reportées au systéme du 
premier modéle, et soumises seulement à une 
répartition linéaire des erreurs de fermeture en 
X, y, z, dans le but de réduire les erreurs le long 
de la bande à des quantités qui pouvaient mieux 
être représentées par des graphiques. Pour les 
triangulations a bz = 0 et a bz statoscopique, les 
z étaient corrigés d’après les différences entre 
les deux valeurs du photogramme commun à 
des couples. Avec ces bandes l’on disposait pour 
presque chaque couple stéréoscopique, des 
points déterminés sur le terrain par la méthode 
classique de triangulation à dénivellement, de 
façon qu’on a pu calculer les erreurs réelles des 
points des couples enchaînés près de l’axe de 
chaque bande et effectuer une étude soigneuse le 
long de chaque axe. On a construit 258 courbes 
d'erreur dont 123 se réfèrent à la méthode 
bz — 0, 72 à la méthode statoscopique et 54 à 
la méthode solaire. L'étude des susdites courbes 
d'erreur a été conduite séparément pour les trois 
méthodes d'enchainement et enfin on a effectué 
des compensations d'ensemble. Premiérement 
l'examen a concerné la ressemblance entre les 
courbes d'erreurs se rapportant à des enchaîne- 
ments commencés avec base intérieure et celles 
se rapportant à des enchainements à base exté- 
rieure, dans l'hypothése de conditions de travail 
aussi identiques que possible. Cette répétition de 
passage met en évidence l'influence de l'instru- 
ment dans la propagation des erreurs systéma- 
tiques. Ensuite, un avis fut exprimé concernant 
la régularité des courbes mémes, en tenant 
compte surtout de la symétrie longitudinale. Ce 
phénoméne a sa répercussion la plus évidente 
dans la simplicité de la loi de compensation. 
Enfin, on a donné la distribution statistique du 
maximum des erreurs de chaque enchaînement 
en le subdivisant dans les trois intervalles, erreur 
inférieure à 40 métres, comprise entre 30 et 
80 métres, et supérieure à 80 métres. En effet, 
une erreur maximum de 20 mètres en planimé- 
trie peut être tolérée pour la restitution à échelle 
moyenne même sans procéder à des compensa- 
tions, tandis que les erreurs au-dessus de 80 
mètres peuvent difficilement être réduites en 
ne tolérant pas la moindre compensation. Les 
bandes enchaînées avec la méthode bz = 0 du 
départ à base intérieure ont souvent donné lieu 
à des courbes d’erreur semblables à celles avec 
départ à base extérieure. La courbe d’erreur a 
fréquemment été très régulière. Les valeurs 
maxima des erreurs brutes en x, y et z n’ont été 
trouvées que rarement — il y a des pourcentages 
inférieurs à 20 mètres tandis que les erreurs en 
x, y, sont presque toujours restées comprises 
entre 20 et 80 mètres, en z elles l’ont été beau- 
coup moins. Ce pourcentage, de même que 
l'examen comparatif, semble indiquer que la’ 
méthode d'enchainement bz = O0 méme, en 
  
  
  
  
  
 
	        
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