Les résultats obtenu
s mirent en évidence encore une fois
de l'application de
la triangulation aérienne dans
» » . . * . r
points d’orientation en question et l'intér
les expériences,
l'opportunité | UN
la détermination des
et qu'il y avait à poursuivre
Sur la base de ces conclusions et compte tenu de l'expérience acquise I
entre-temps à l'occasion des recherches conduites pour l'O.E.E.P.E.,
l'on procéda par la suite à d'autres assais sur des bandes plus longues
et plus précisément sur une bande de 40 km. L'élaboration successive
des observations recueillies à l'appareil à cette occasion, fit considérer
opportun de couper en deux troncons la compensation altimétrique de
la bande et de mesurer sur le terrain 4 à 5 distances zénithales relatives
à deux points compris dans le modèle intermédiaire de la chaîne
aérienne.
En 1957, d’autres expériences fur
d'une bande de 9 photogr
fectuée avec un
ent conduites en procédant a l'examen
ammes faisant partie d'une prise de vue ef-
appareil aérophotogrammétrique grand-angulaire dans
le Molise, à une altitude absolue de 4500 m.
Les résultats obtenus se ré
vélèrent particulièrement intéressants et dé-
terminants. Leur exame
n conduisit à renoncer à la correction préalable
de la convergence et mit en évidence ]
a nécessité d’améliorer encore
davantage 1
a précision intrinsèque de la préparation au sol des points Il
d'orientation aux extrémités des bandes aériennes (départ et arrivée).
Les conclusions tirées de ces dernières recherches, qui fournirent, dans
entre coordonnées topographiques et coordonnées
obtenues par enchaînements. des écarts résiduels maximums d'1,84 m N
en X, 1,60 m en Y et 1,32 m en Z, convainquirent la direction de |
l'Institut Géographique Militaire Italien à autoriser l'emploi de la mé-
thode dans les travaux aérophotogrammétriques mis en programme en
Sardaigne pour l'année 1958. Cette faculté fut immédiatement exploi-
tée par E.LR.A. qui, dans l'exécution des travaux qui lui furent
confiés, procéda à la determination des points d'orientation nécessaires
à l'encadrement des stéréogrammes au cours de la restitution, au moyen
de triangulations aériennes.
La série des expériences n'était pas terminée pour cela. L'élaboration
successive des observations enregistrées à l'appareil au fin de la déter-
mination des coordonnées des points définis par enchaînement, dans
le système topographique terrestre de référence (Système Guass-Boaga),
se révéla en effet plus délicate et plus laborieuse que l'on n'avait prévu.
En s’inspirant à l’expérience recueillie au cours des recherches
les comparaisons