Full text: Commissions III and IV (Part 5)

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DISCUSSION ON THE GENERAL REPORT OF SUB-COMM IV-3 165 
not stretched beyond their capabilities. 
From the office side, the laboratory work, 
the operators have less difficulty in the inter- 
pretation of detail on large-scale works, 1 
1,000 and 1 : 500, because as Dr Schwidefsky 
pointed out with his slides, the absence of 
shadows enables a lot of small details to be 
picked up. 
Mr B. HALLERT: I should be added that the 
results obtained by Dr Fagerholm are in com- 
plete agreement with the theory of geometric 
aerial propagation. This is clear from his y- 
parallax measurements and the results. There is 
very good agreement between theory and prac- 
tice also in that case. 
Mr N. LEEF: As a matter of fact, we have 
problems in Israel of a lot of haze in the 
southern part of the country. Although there are 
rays there is a lot of cloud for many parts of the 
year. For the last ten years we have been work- 
ing a lot on this part of the country and we have 
almost exclusively used the arid areas for 
mapping in order to evade the haze and have 
photographed under cloudy conditions all the 
southern part of Israel. We have found it most 
suitable, more so than with sunshine where there 
is too much haze and too many shadows which 
you cannot distinguish for photographic con- 
touring, especially cliffs, and so on. 
Général L. HURAULT: Dans les très intéres- 
sants exposés que je viens d'entendre je remar- 
que toutefois que l'application des prises de vue 
par des ciels couverts plus ou moins complets 
peut convenir à des levés à grande échelle, mais 
lorsqu'il s'agit de levés à moyenne et à petite 
échelle, ce qu’il faut considérer à ce moment-là, 
c’est la hauteur des nuages. Or, la hauteur des 
nuages, quand les ciels sont très couverts comme 
vous venez de le dire, les nuages sont à des 
altitudes de 600 m, 800 m, 1000 m; exception- 
nellement par des temps de cumulus vous aurez 
des nuages à 2000 m, mais en général ce n'est 
pas l'ombre du nuage qui sera génante, c'est le 
nuage lui-méme parce qu'on l'aura au-dessus de 
soi, si l'on veut des photographies à moyenne et 
à petite échelle — et c'est à ce moment-là qu'il 
n'y a plus aucun procédé de compensation qui 
traverse le nuage. C'est pourquoi dans les ré- 
gions oü l'on veut faire des levés à petite échelle 
il est absolument obligatoire d'attendre que le 
ciel soit découvert, ou presque complétement 
découvert. C'est le cas oü nous nous trouvons en 
pays équatorial, mettons dans les régions comme 
le Gabon, comme la Cóte d'Ivoire, on est obligé 
Archives 5 
d'avoir des avions qui attendent patiemment les 
journées favorables, mais si ces avions ont une 
grande puissance de vol ils couvrent en une 
journée découverte des surfaces considérables. 
Nous avons vu couramment — on couvre 15.000 
kms” avec un avion en une journée de vol. Les 
problèmes sont donc très différents selon les 
régions équatoriales la hauteur du soleil au- 
échelles auxquelles on a à travailler. 
Je voulais signaler également que dans les 
régions équatoriales la hauteur du soleil au- 
dessus de l’horizon a une très grande importance 
parce que les formes du terrain que l’on a à 
représenter sont données non seulement par les 
différences de teinte entre les différents éléments 
du terrain, mais sont données également par les 
ombres projetées et la longueur des ombres sur 
des photographies à petite échelle, les ombres 
sont un élément essentiel du dessin du terrain. 
En bien, quand on travaille avec un soleil au 
Zénith il n’y a plus d’ombres, par conséquent 
toutes les photos sont d’un gris extraordinaire, 
et il est intéressant au contraire dans ces régions 
équatoriales de faire les photographies non pas 
avec le soleil au zénith, mais au contraire le 
matin ou le soir dans la mesure où on le peut. 
Voilà les observations que je voulais présenter. 
Docteur H. HARRY: Merci mon général pour 
vos remarques et je crois que tout le monde est 
d’accord que la chose — pouvoir travailler par 
des jours nuageux — c’est surtout une chance 
pour la photogrammétrie des plans à grande 
échelle. Nous avons là une petite chance, mon 
général — vous vous avez la grande chance du 
ciel ouvert, du rendement des avions, et de la 
liberté du grand air, et pour notre photogram- 
métrie de précision nous devons chercher com- 
ment on peut échapper un peu à ces 25/30 jours 
pour travailler pour allonger le temps des levés. 
Herr HABERLIN: Eine Frage: Bei der ange- 
wandten Fluggeschwindigkeit, der Verschluss- 
geschwindigkeit und der Kamera sowie bei der 
Signalgrôsse kann man ausrechnen, dass die 
Signale als Stäbchen von 300-stel Millimeter 
Breite und 900-stel Millimeter Länge abgebildet 
worden sind. Dies entspricht einer Bewegungs- 
unschärfe von ca 15 cm im Gelände. Es würde 
mich nun interessieren zu erfahren, ob beson- 
dere Massnahmen bei der Einstellung der Punk- 
te am Autographen getroffen worden sind. Herr 
Fagerholm hat gesagt, sie wären zweimal einge- 
stellt worden, damit doch die bemerkenswerte 
Genauigkeit von mittleren Fehlern von ca 2 cm 
im x und y und 3 cm im z erhalten worden ist. 
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